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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Un singe en hiver):
"Gabin, le vieux briscard du cinéma français, et Belmondo, le jeune loup de la Nouvelle Vague, forment un duo grandiose : ils titubent ensemble et font des étincelles avec les magnifiques dialogues d'Audiard." Telerama "Gabin parlait le Audiard comme si c’était sa langue maternelle, ça on le savait, mais l’étonnement provient de Belmondo qui parvient à déclamer le Audiard avec délice. Boum ! Un duo d’anthologie est né, et Un Singe en Hiver devient un grand classique du septième art. Immanquable !" On r'fait le film "A force de montrer Gabin et Belmondo biberonnant à l'écran, Un Singe en Hiver eu fort à faire avec la commission de censure qui y voyait une apologie de l'alcool. Et le ministère de la santé s'offusqua de la trop bonne visibilité des marques d'apéritifs à l'écan; du placement produits avant l'heure?" L'Express "La MGM mit du temps à accepter ce qu'elle prenait pour une vulgaire histoire d'ivrognes... On en est loin : la rencontre, certes alcoolisée, entre l'hôtelier Quentin et le jeune Gabriel Fouquet est une ode amère aux voyages, ceux que l'on a fait durant sa jeunesse enfuie et ceux que l'on ne fera plus jamais." Telerama "Un Singe en Hiver raconte l'amitié spontanée de deux hommes qui boivent autant par mélancolie que par poésie." Le Passeur Critique "Verneuil, c’est un cinéma de divertissement avec des scénarii en béton, une mise en scène toujours très vivante et rythmée, des dialogues ciselés, et une distribution d’enfer. Du travail de pro quoi, avec un penchant pour les histoires viriles au grand coeur." On r'fait le film "A l'occasion de ce film Gabin trouve en Bébel son fils spirituel. Tous deux ont la même décontraction face à l'objectif. Gabin dira même à Verneuil: "Vous ne direz plus «Ah si nous avions un Gabin jeune», vous l'avez!"." L'Express "Anecdotes: dans la scène du flamenco, Belmondo ne danse pas, il est doublé pour les gros plans par un danseur espagnol. Par contre, il exécute la scène de la corrida avec les voitures." Wikipedia |
Synopsis usuel:
À Tigreville, sur la côte normande, Albert Quentin dirige un petit hôtel, avec sa femme Suzanne. Ancien quartier-maître du corps expéditionnaire d'Extrême-Orient, Albert est devenu par nostalgie de sa vie aventureuse un buveur invétéré. Pourtant, pendant les violents bombardements de juin 1944, il jure à son épouse qu'il ne touchera plus un verre s'ils s'en sortent indemnes. Promesse tenue. Mais quinze ans plus tard, un jeune homme étrange descend à l'hôtel et va se saouler au bar d'en face. Albert ne tarde pas à se lier d'amitié avec cet ivrogne attachant, mais Suzanne craint qu'il ne l'entraîne vers ses vieux démons... |
Sortie ciné : 11 mai 1962 Box office France: 2 417 209 entrées cinéma |
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