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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Mon nom est Tsotsi):
"Une émotion juste et rare traverse ce portrait d'un grand gosse de 19 ans qui vit dans un bidonville près de Johannesburg et joue les durs en se faisant appeler Tsotsi. Le réalisateur sait trouver des images simples et marquantes pour évoquer la nuit intérieure dont son héros va tenter de sortir comme à tâtons, instinctivement. (...) Tsotsi, chien enragé, refait son chemin vers l'humain." Telerama "Mon Nom est Tsotsi est une belle histoire de rédemption. La réalisation ne laisse rien au hasard et le personnage principal est parfaitement incarné. Ces trois ingrédients font de Mon Nom est Tsotsi une réussite." Avoir Alire "Le monstre s'octroie le rôle du père qu'il n'a jamais eu, cache le bébé et le pouponne, veille sur lui comme sur un double. L'enfant est le vestige de ce qu'il avait enfoui à force de vivre comme un chien : sa face humaine. Le suspense ne s'arrête pas pour autant. On tremble pour le môme que son kidnappeur ne sait trop comment nourrir, laver, protéger." Le Monde "Le film profite d'un choix de musiques actuelles construisant à elles-seules un véritable opéra, et de l'interprétation d'excellents acteurs." Africultures "Tout d'abord, le film nous plonge dans un univers marqué par le droit du plus fort, de celui qui ose tuer sans sourciller. Cette descente aux enfers de la pauvreté en Afrique du Sud garde certes une forme stylisée et elle se contente d'évoquer seulement un ou deux aspects de la misère sociale. Mais la densité de la réalisation en fait une entrée en matière musclée et percutante. La noirceur du film dégringole par contre bien trop vite vers une mièvrerie de plus en plus exacerbée." Mulderville "Quel gâchis dans la mise en image ! Fallait-il déréaliser à ce point le bidonville pour placer le récit à ce niveau d'allégorie ? Jouant sans mesure de filtres sépia, Gavin Hood esthétise en permanence le théâtre de l'action. (...) le réalisateur revient sans cesse au gros plan et au face caméra pour imposer une relation au jeune Tsotsi dont le regard finit par nous hanter. Sa recherche de l'effet est systématique pour déclencher l'affect, dans une affligeante absence d'inventivité. C'est tellement gros qu'on ne voit plus que ça : les multiples zooms sur les protagonistes pour forcer l'émotion. Le lyrisme se meut dès lors en une soupe de bons sentiments et la blessure originelle de ce pays qui se cherche un nom devient le prétexte d'un improbable western urbain." Africultures |
Synopsis usuel:
Dans un bidonville aux abords de Johannesburg, en Afrique du Sud, un jeune homme de 19 ans orphelin a occulté tout souvenir de son passé, jusqu'à son propre nom. Il s'appelle donc Tsotsi, qui signifie "voyou", "gangster" dans le jargon des ghettos. Sans nom, sans passé, sans ambition, il n'existe que dans un présent plein de colère. Un soir, une femme descend de sa BMW et tente en vain d'ouvrir le portail de sa maison. Tsotsi sort son arme, l'agresse, tire et s'échappe avec la voiture. Un enfant pleure sur la banquette arrière... |
Sortie ciné : 19 juillet 2006 Box office France: 324 751 entrées cinéma Academy Awards 2006 : Oscar du Meilleur film étranger. |
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