Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Brubaker):
"Plaidoyer humaniste prenant pour cadre l’univers carcéral, Brubaker est un film engagé qui pâtit toutefois d’une tendance à la schématisation. Efficace quoi qu’il en soit." Avoir Alire
"Dressant un portrait sans concession d’un univers impitoyable, le cinéaste suit le destin d’un homme dont la tentative de réforme du système échoue." Avoir Alire
"Corruption, dégradations, maltraitance, inégalités, la liste des défauts du pénitencier est longue." Confessions d'un accro au dvd
"Notre héros éponyme, parfait en tout point (on aurait aimé un peu plus de nuance), est interprété par un Robert Redford en pleine période de gloire. Il est fabuleux et donne corps à un personnage donc un peu fade et lui permet d’exister autour des Yaphet Kotto, David Keith et autres Richard Ward, véritables bouffeurs d’écran qui illuminent leurs scènes. Cependant, le scénario prend bien trop son temps et n’est jamais réellement passionnant. De plus, Stuart Rosenberg ne donne jamais un souffle épique à son film et réalise sans grand génie (voire pire) ce qui aurait du être une fresque larmoyante et mémorable. Brubaker est donc un film très sympathique, mais qui manque d’une réelle direction et d’un scénario solide. Dommage, car l’interprétation était géniale." Le Critiqueur Fou
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Synopsis usuel:
A la fin des années soixante à Wakefield, une ferme prison de l’Arkansas détient près de trois cent prisonniers de tous âges dans des locaux insalubres. Entré sous le matricule 29450 au mois de février 1969, Stan Collins tente de connaître les mobiles de chaque prisonnier. En peu de temps, il découvre la vie du pénitencier et apprend en particulier que la majeure partie des gardiens ne sont en réalité que des forçats privilégiés. A l’image de leur chef, Rauch, les malfaiteurs promus gardiens usent de leur nouveau pouvoir pour assouvir leur vengeance personnelle et leur méchanceté...
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