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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod Les Enfants volés):
"Le film montre une longue et complexe relation, due au hasard administratif, entre un jeune adulte, carabinier de son état, et deux enfants, frère et soeur, totalement détruits par la pire des carences familiale." Cemea "La société a fait tremper, malgré eux, deux innocents dans de sales histoires d'adultes." Telerama "Du point de vue de son administration, Antonio a sûrement outrepassé son rôle. D'où le titre du film Le Voleur d'Enfants. Est-ce être hors la loi que de tenter de sauver des enfants de l'enfer des adultes ? " Cemea "Au centre de cette oeuvre, une pudeur et une humanité désarmantes transcendent une histoire aussi sordide que vraisemblable. Sans jamais sombrer dans le larmoyant, le film de Gianni Amelio dénonce les inégalités sociales (...)." vod canal "Amelio a un souci de percer par tous les moyens la carapace des apparences. Il y a dans son cinéma comme une revendication souterraine qui irrigue toute l'oeuvre, celle d'une présence au monde, un monde qui ne soit pas celui des fausses valeurs et des hommes sans passé et sans qualités mais celui de la connaissance et de la responsabilité. Mettant souvent en scène des enfants, des adolescents ou des individus dans la phase de passage à l'âge adulte, Amelio exprime ainsi, au delà d'un pessimisme de fond, l'espérance en un dépassement et un progrès." Festival Larochelle |
Synopsis usuel:
A la périphérie de Milan, dans une cité dortoir, une femme d'origine sicilienne, accusée de prostituer sa fille Rosetta âgée de onze ans, est emmenée par les forces de l'ordre. Antonio, un jeune carabinier, est chargé d'escorter Rosetta et son petit frère Luciano dans un foyer religieux, près de Rome. Mais les deux enfants n'y sont pas acceptés. Antonio doit alors les accompagner jusqu'en Sicile, dans un institut spécialisé. |
Sortie ciné : 30 septembre 1992 Festival de Cannes 1992 : 2 récompenses. Grand Prix, Prix du Jury Oecuménique. |
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