Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Las Vegas parano):
"Terry Gilliam n'a pas son pareil pour créer des univers loufoques et décalés. Dès les premières images, Las Vegas Parano impose son style de comédie déjantée. Il en sera de même pendant les deux heures du film. Ici, l'histoire n'est qu'un prétexte pour enchaîner des séquences plus délirantes les unes que les autres." Point Critique
"Immense trip survitaminé, Las Vegas Parano est une mine cossue de dingueries hilarantes et originales, de scènes mythiques/cultes, et autres jeux d'acteurs stupéfiants (il faut avoir vu Johnny Depp rasant les murs d'un couloir d'hôtel au moins une fois dans son existence)." Ecran Large - dam
"Les deux amis vont se défoncer avec un cocktail de drogues assez délirant : poppers, mescaline, cocaïne, canabis, éther, LSD... de quoi effectivement se faire de sacré hallucinations." Guide Rapide
"La première demi-heure, plutôt épuisante, est comme un mur à franchir ; une initiation. Derrière se dessine le film culte." Ecran Large - dam
"Mettre en scène l'état de « défonce », et la confusion qui en émerge, est un domaine où les cinéastes s'aventurent finalement assez peu (en tout cas, rarement sur un film entier), et l'aisance de Gilliam à dépeindre ce type d'univers loufoque mérite que l'on s'y penche un peu plus longuement. (...) Comment répondre à la démence d'une société de consommation qui s'étend à grande vitesse ? Le récit fait un pari à la fois aberrant et parfaitement logique. Puisque le monde civilisé est devenu fou, il faut se comporter de manière totalement irresponsable pour réussir à le supporter, à l'éprouver et en démontrer l'absurdité." Critikat
"Las Vegas Parano commence avec la défonce, passe par la défonce et finit avec la défonce. L'idée d'en faire un film « présentable » était empoisonnée. Le réalisateur s'est contenté d'illustrer, de peupler de gros lézards les chambres d'hôtel, de remplir le ciel de chauves-souris, de soigner les décors, de fabriquer un objet rétro (...)." Telerama
"Le baroque Gilliam fait du roman d'Hunter S. Thompson un clip bariolé. C'est une overdose d'effets spéciaux indigestes censés traduire les visions psychédéliques du héros joué par Depp qui singe Groucho Marx." Les Inrocks
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Synopsis usuel:
En 1971, Raoul Duke, journaliste, et son avocat samoan, le Dr Gonzo, partent pour Las Vegas, le coffre de leur voiture bourré de drogues interdites, afin de couvrir une course de motos dans le désert. Le voyage est émaillé de mille et un incidents, car les deux hommes s'adonnent plus que de raison aux drogues dures et autres hallucinogènes. Le reportage initial va vite céder la place à une succession d'événements toujours entre fantasmes et réalité.
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