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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Thé et sympathie):
"Thé et Sympathie est le drame identitaire d'un ado trop sensible, face à un univers dur et parfois cruel, épris d'une femme qui pourrait être sa mère..." Telerama "Vincente Minnelli dirige l'adaptation de la pièce de Robert Anderson, jouée sur scène par Deborah Kerr, John Kerr et Leif Erickson qui reprendront donc leurs rôles respectifs à l'écran. C'est Elia Kazan qui avait monté cette pièce sur l'homosexualité. Censure oblige, pas d'homosexualité dans le film mais un jeune homme artiste, rêveur et plus sensible, dont on se moque pour ses goûts et ses habitudes." TV Classik "Thé et Sympathie est l'un des films les plus sensibles et les plus secrets du cinéma américain. (...) Le calme de la mise en scène, la splendeur raffinée des coloris, l'intimité des décors, l'ampleur des cadres permettent d'infuser un tact exceptionnel à ce film où les raisons de chacun sont traitées et reçues avec une égale compréhension." Les Inrocks "La pudeur du traitement date un peu le film qui n'aborde pas le sujet à bras le corps et choisit le non-dit plutôt que le démonstratif : on pourrait dire que son jeune héros est un homosexuel refoulé comme on peut y voir « simplement » un tempérament plus émotif et sensible que la moyenne. Dans les deux cas, le film parle du rejet de tout ce qui sort de la norme, des préjugés qui se font violents, de la difficulté d'affirmer son caractère, du passage à l'âge adulte, de tolérance et d'acceptation, d'éducation, d'ouverture d'esprit etc..." 1kult "Thé et Sympathie comporte une des plus belles scènes de l'oeuvre minnellienne, lorsque la femme mariée se donne enfin à son jeune amant, dans un sous-bois, au crépuscule (...). Scène bouleversante car d'une grande théâtralité, dans un décor de studio et baignant dans une lumière totalement picturale : quintessence du cinéma de Minnelli où la vérité et l'émotion surgissent toujours par le détour de l'artifice." Olivier Pere - Arte |
Synopsis usuel:
A l'Université, on surnomme Tom Lee 'la fille': orphelin de mère très jeune, il préfère la poésie aux sports. Ses camarades évidemment lui prêtent des moeurs homosexuelles. Seule, Laura, femme de Bill Reynolds, professeur et condisciple du père de Tom, parvient à le réconforter. Elle brise même son ménage pour lui, par amour. |
Sortie ciné : 5 novembre 1956 |
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