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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd 24 Hour Party People):
"De l'explosion punk à la mort de l'acid-house, 24 Hour Party People est un film scrupuleux et truculent sur la scène de Manchester. Avec Joy Division, Happy Mondays et New Order en chair et en os." Les Inrocks "Winterbottom autopsie la New Wave avec humour et enthousiasme à travers l'épopée du label Factory. Brouillon, excentrique, sympathique." Avoir Alire "24 Hour Party People est un "Rockumentaire" réussi. Il possède une indéniable qualité de narration, de jonglage entre modes de prise de vue (vidéo, caméra à l'épaule, extraits de concerts...) et un humour britannique à froid, noir et désenchanté, truculent." Abus de Cine "Le film triche, gâche et trahit, dessine à traits gros mais souvent justes et parfois fulgurants une histoire simplifiée dont les saillies les plus grotesques sont des faits avérés. La seule énergie des images d'archives, semées ici et là, paraît avoir contaminé le reste, et même les inévitables coquetteries visuelles de Winterbottom s'oublient dans le mouvement. L'affectation du réalisateur cède ici clairement la place à l'affection : pour Tony Wilson (ou sa légende, mais quelle différence ? ), et pour la musique produite grâce à lui." Telerama "Le cinéaste privilégie les anecdotes, parfois fantasmées, au risque de dérouter les fans des eighties. Car Michael Winterbottom manie un humour à double tranchant qui permet de voir dans son film aussi bien une apologie qu'une critique, tendre certes, mais non moins jubilatoire." Avoir Alire "Au placard l'exactitude historique; friand de colonnes people, Michael Winterbottom choisit d'entretenir la légende, plutôt que d'éplucher les archives. (...) Brouillon et laborieux, 24 Hour Party People se limite souvent à des oeillades entre mélomanes avertis. Enrobée de monologues tortueux et de railleries comiques, la narration dispersée tend maintes fois de perdre en route les moins informés. Les années glorieuses de L'Hacienda sont expédiées, les icônes sacrifiées. Difficile, à la lumière du discours enfumé, d'apprécier la folle démesure du label Factory et de discerner l'anecdote de l'essentiel." Film de Culte |
Synopsis usuel:
Manchester, juin 1976. Tony Wilson, présentateur à Granada TV, et sa femme Lindsay assistent à un concert des Sex Pistols. Le groupe The Stiff Kittens, qui deviendra plus tard Joy Division, est également présent. Leur rencontre engendrera un label, Factory Records, un club mythique, The Hacienda, et une révolution musicale... |
Sortie ciné : 4 juin 2003 Box office France: 8 975 entrées cinéma |
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