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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Et Dieu... créa la femme):
"À sa sortie, en 1956, le film divise tant critiques que public, et crée même le scandale, pour son ton sulfureux et sexy. Drame assez classique, le film est néanmoins un succès au box-office, et fait rapidement de ses acteurs principaux des superstars du cinéma français, reconnues à l'échelle internationale." Over Blog "Subitement érigée en sex-symbol mythique et scandaleux, Brigitte Bardot se trouve aussitôt au centre de l'attention médiatique, son personnage étant bien souvent présenté comme une égérie féminine, symbole d'une libération sexuelle de la femme." Over Blog "Et Dieu... Créa la Femme parle de cette créature sauvage que représente la femme pour l'homme et comment elle peut faire complètement les faire vaciller. Resté dans les mémoires de bien des cinéphiles, ce chef d'oeuvre de la comédie romantique, faux film léger, bénéficie de très beaux plans et de scènes cultes à l'image de celle où Bardot se déhanche comme une folle sur des rythmes africains. Elle en oublie tout : les hommes et le regard des autres. Divertissant, musical, ensoleillé : Et Dieu... Créa la Femme est un monument du cinéma français, au charme indémodable." Pop and Films "A chaque diffusion, c'est la même chose : on rappelle aux jeunes générations l'immense scandale qui fit, en son temps, l'aura de ce film même pas culte. On constate la banalité du scénario de roman de gare, les couleurs criardes, la fin conventionnelle... Et on en vient à la seule trouvaille de Vadim : Bardot. En lui demandant de ne pas jouer mais d'être elle-même, le mythe était né. Moue boudeuse, démarche lascive, cheveux à la diable, dans le rôle de Juliette la mineure, qui a « le courage de faire ce qui lui plaît quand ça lui plaît », elle devenait l'emblème d'une petite révolution sexuelle..." Telerama "La réception du film en France fut plutôt tiède. Les journalistes reprochaient la facilité du sujet et le choix des acteurs, hormis Jurgens. Ils jugeaient Bardot sans indulgence, trouvant qu'elle avait le verbe traînant et l'articulation douteuse. Du coup, l'exclusivité des salles des Champs-Élysées ne dura que la moitié du temps prévu par le contrat. Par contre, les États-Unis réservèrent un accueil triomphal au film." Cine Club de Caen "A l'époque de la sortie du film, l'électroménager en pleine expansion libèrait la femme d'un certain nombre de contraintes. Dans un tel contexte, les mentalités évoluaient rapidement. Faisant fi des travaux ménagers, Brigitte Bardot imposait une nouvelle féminité à la recherche de son plaisir, et en particulier de sa liberté sexuelle. Les codes moraux vacillants et les censures s'assouplissant progressivement, B.B. devient donc l'incarnation d'un rêve collectif, la réponse à une attente non formulée d'une nouvelle génération de consommateurs." Cine Club de Caen "Sur le papier, Et Dieu... Créa la Femme possède un banal scénario de roman de gare, parfum Harlequin. A l'écran, il est une pellicule sans imagination, où un Technicolor tape-à-l'oeil le dispute à une sensualité popote. Aujourd'hui, tout cela frise la nigauderie, le navet pur jus." Ecran Large |
Synopsis usuel:
Juliette, une jeune orpheline, vit chez les Morins qui tiennent une librairie dans une station balnéaire. Belle et libre de son corps, elle est désirée de tous les hommes, depuis le vieux Morin qui se cache pour épier ses bains de soleil, jusqu'aux fils Tardieu, en passant par le riche armateur Carradine, ils désespèrent tous pour avoir ses faveurs. Mais elle n'a d'yeux que pour Antoine, qui lui ne voit en elle qu'un simple façon de s'amuser... |
Sortie ciné : 28 novembre 1956 Box office France: 3 831 979 entrées cinéma |
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