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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Baby Cart 4 - L'âme d'un père, le coeur d'un fils):
"Baby Cart 4 - L'Ame d'un Père, le Coeur d'un Fils est un bloc de poésie, amer et sanguinaire." Total Manga "Baroque et mélodramatique, ce nouveau volet s'insère parfaitement dans le désenchantement de l'oeuvre originale, un manga de Koike." Total Manga "Kenji Misumi, génial réalisateur des trois opus précédents, cède sa place le temps d'un film à Buichi Saito, un second couteau de la Toho. On pourrait craindre le pire lors de cette période d'intérim, mais Saito se montre particulièrement digne de son aîné. C'est bien simple, on ne voit pas vraiment la différence avec les autres films de la saga." Devil Dead "Les combats, le point fort de la série, sont toujours aussi nerveux et chargés en gore. L'érotisme, qui saupoudrait les précédents films, est également de la partie mais intégré cette fois directement aux séquences d'action via le personnage de Oyuki, l'amazone qui découpe ses adversaires plus vite que son ombre. Cette dernière possède une technique de combat très efficace, puisqu'elle se bat torse nu, son dos et surtout sa poitrine étant généreusement recouvert de tatouages destinés à faire perdre la concentration de l'ennemi..." Devil Dead "Buichi Saito signe un quatrième opus de très grande qualité où la tragédie s'invite à plusieurs reprises et ceci malgré une réalisation moins inspirée que celle de Misumi." Avoir Alire "Dans cet épisode ne dérogeant pas à la règle, des geysers de sang bien oxygéné viennent éclabousser des personnages au front gras. L'atmosphère est suffocante (...). Sans fausse note, au cours d'un assaut final ultra-violent, Buichi Saito surfe sur le genre spaghetti en vogue et accouche d'une séquence magnifiée par des mouvements immersifs de caméra portée, étouffant le spectateur dans les recoins d'une carrière de pierre labyrinthique." Total Manga "C'est au niveau du récit que ce film trouve sa marque propre. Le scénario de Koike se concentre cette fois sur deux histoires assez longues. Le film n'est plus cette avancée délirante dans l'enfer de la mort qui évoquait les jeux vidéo. La structure est plus tragique, les personnages secondaires acquièrent de l'importance. L'enquête que mène Itto pour retrouver Oyuki et découvrir son passé, donne parfois une ambiance de film policier à cet épisode." Dvd Classik "Buichi Sato s'en sort très bien à la réalisation, certe. L'ambiance est toute aussi bonne qu'avec Kenji Misumi, les morts tout aussi nombreux, mais le fluide se tarit doucement mais sûrement. Le principe est tout de même très répétitif même si cette épisode apporte de nouveaux éléments scénaristiques bien amenés (...) on commence vraiment à tourner en rond. Les combats sont saignants mais de plus en plus rapides. (...). C'est la surprise qui fait défaut. Une galerie de méchants, ça ne fait pas tout." Cinemasie - Drélium |
Synopsis usuel:
Itto Ogami reçoit une forte somme pour tuer Oyuki, une bretteuse qui utilise la beauté de son corps entièrement tatoué pour surprendre ses adversaires. Désireux d’en savoir plus sur la jeune femme, le loup solitaire réalise qu’elle ne fait qu’accomplir une vengeance. Pour honorer son contrat, il devra l’affronter en combat singulier. Laissé à lui-même, Daigoro fait une mauvaise rencontre en la personne de Gunbei Yagyu, l’un des meilleurs sabreurs du clan qui a juré la perte de Itto Ogami... |
Sortie ciné : 13 avril 1994 |
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