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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Baby Cart 6 - Le Paradis blanc de l'enfer):
"C'est un dernier volet en forme d'apothéose, avec moins de réflexion, mais plus d'action, de violence et de poésie visuelle. Kitsch, délirant et purement jubilatoire." Avoir Alire "Ce sixième épisode est une apothéose dramatique et délirante aux aventures d'Itto et de son fils. Le récit se recentre sur le face à face entre le loup solitaire et Yagyu Retsudo. Il n'y a pas d'histoire secondaire, juste ce dantesque face à face tant attendu." Dvd Classik "Misumi ne réalise pas cet épisode, et ne mettra en scène qu'un dernier film avant de s'éteindre. Kazuo Koike, apparemment déçu du fait que les films ne se concentrent pas assez sur les relations entre Itto et son fils, n'en écrit pas le scénario. Enfin, la musique n'est plus signée Hideaki Sakurai. Malgré ces absences de poids, le film demeure dans la droite lignée de la saga. Le scénariste Tsutomu Nakamura avait déjà travaillé sur le précédent opus, Chishi Makiura dirige toujours la photographie et Toshio Taniguchi est une fois de plus au montage. Makiura, Taniguchi et Akira Naito (directeur artistique sur les deux premiers épisodes et qui tient ici le poste de production designer) formaient la "Misumi-gumi", la bande à Misumi, un groupe de technicien fidèles au réalisateur, véritable prolongement de sa pensée créatrice. Leur présence assure ainsi à cet épisode de la saga sa cohésion avec le reste de l'oeuvre." Dvd Classik "Abandonné par le réalisateur des deux tiers de la franchise et par l'auteur d'origine, l'oeuvre conserve la rigueur de ses codes moraux, narratifs et visuels, mais l'assaisonne d'une touche délirante parfois très déstabilisante, où se mêlent fantastique grossier (démons et autres apparitions en surimpressions optiques) et carnages grotesques (humour pataud, musique pop et cascades surréalistes tirées des James Bond de l'époque). Ce mélange hétéroclite n'empêche pas le film de rester dans la continuité de la franchise." Ecran Miroir "L'intrigue de base de la série ne cesse de se défiler, les personnages principaux sont bien installés et n'évoluent plus vraiment, des gimmicks récurrents assurent la signature de la série (les postures du héros au combat, les gadgets meurtriers du landau, le gore)... Ogami Itto prend avec ce film l'allure d'un James Bond, non pas que le samouraï mutique en partage la même attitude mais en tout cas le même traitement à l'intérieur de la série de films qui l'illustre. Et ce n'est pas ce soudain goût pour les musiques funky accompagnant ce sixième opus qui viendra prouver le contraire." Devil Dead |
Synopsis usuel:
Le terrible seigneur de guerre Retsuro Yagyu, a lancé sa propre fille Kaori aux trousses du « Loup Solitaire ». Malgré son expertise au couteau, la belle connaît une défaite cruelle... Dès lors, Retsudo n’a plus d’autres ressources que d’invoquer son fils bâtard, le monstrueux Hyoei, qu’il a déporté à sa naissance au fond d’une forêt ténébreuse. Mi-homme, mi-démon, cet adepte de la magie noire dévoré par la haine et la frustration accepte de se mesurer à Ogami... |
Sortie ciné : 13 avril 1994 |
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