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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Combat sans code d'honneur):
"Avec le style et la virulence qu'on lui connaît, Fukasaku excelle à brosser le portrait d'un chaos social complet, celui des années 40 et 50 dans l'archipel nippon, et plus précisément à Hiroshima où le champignon atomique a donné naissance à une véritable jungle, dominée par des militaires américains et des clans de yakuza dont le seul code d'honneur est le « chacun pour soi » et « le plus fort a toujours raison »." Cinemasie - Ghost Dog "Probablement influencé par Le Parrain, sorti l'année d'avant, Combat sans Code d'Honneur est une analyse implacable de l'émergence, immédiatement après la défaite du Japon, des nouveaux yakuzas à Hiroshima. Montrant sans concession les liens entre les politiciens, la police, les gangs, Fukasaku met en scène des prédateurs qui s'entretuent en dehors des lois qui régissaient traditionnellement les rapports entre les clans." Wild Side "Kinji Fukasaku nous plonge dans ce Japon d'après-guerre où le désenchantement est de mise. Un pays détruit où la loi du plus fort règne et où l'armée américaine est perçue comme une armée d'occupation sans foi ni loi. Au milieu du chaos, ces gens démunis et ces habitations détruites, des hommes tentent de s'en sortir par le biais du système D. Le marché noir, le vol, le meurtre, sont un univers sur lequel des yakuzas vont se former et asseoir leur autorité." Made in Asie "Kinji Fukasaku réalise une oeuvre coup de poing sur le fil du rasoir, à la fois haletante et emprunte d'une certaine folie destructrice." Made in Asie "Dès la séquence d'ouverture, lorsque nos amis les G.I. décident de violer une fille qui passait par là, on assiste à de violentes bastons en bonne et due forme, filmée avec une caméra ultra virevoltante qui colle constamment à l'action : c'est là décidément toute la marque de Fukasaku, dont la caméra vit avec ses personnages." Shangols "Combat sans Code d'Honneur est étourdissant d'inventivité visuelle et non dénué d'une dimension de commentaire social." Cinemasie - Ordell Robbie "Combat sans Code d'Honneur est un excellent polar, ultra violent. Fukusaku présente ses personnages comme de vulgaires pantins juste aptes à servir les plus haut gradés et à fermer leur tronche. Grand sens des valeurs et des traditions, alchimie fantastique entre respect et violence. Une réalisation nerveuse (beaucoup de passage en scope embarqué) et une musique jazzy donnent une certaine personnalité à cette oeuvre noire, riche et débordante de messages. Un des films cultes de Quentin Tarantino." Cinemasie - Xavier Chanoine "Combat sans Code d'Honneur est d'abord une critique en règle de la démocratie importée au Japon par l'occupation américaine. Fukasaku a d'ailleurs expressément revendiqué cette critique. La démocratie est vilipendée du début à la fin du film, avec une noire ironie. Loin d'apporter une valeur respectable permettant au Japon de se reconstruire moralement, elle est décrite comme une couverture aberrante utilisée par les gangs et les députés qui les fréquentent à leurs fins exclusives, sans aucune préoccupation de justice sociale." Ecran Large - Francis Moury "Fukasaku exalte l'esprit des Yakusa, leur histoire et leur tradition. Ce qu'il critique, ce sont les Yakuza arrivistes pervertis par l'esprit de l'occupant américain." Ecran Large - Francis Moury "On a glosé sur la complexité excessive du scénario, ses descriptions fines des luttes intestines et des retournements d'alliance. C'est oublier que Koichi Iboschi - l'auteur de l'histoire originale (parue sous forme d'un livre) dont est adapté le scénario de Kazuo Kasahara - était un ancien Yakuza (...). Les faits décrits sont donc, en très grande partie, authentiques." Ecran Large - Francis Moury |
Synopsis usuel:
Basé sur des faits réels, le film raconte la lutte pour l’hégémonie d’un nouveau gang reconstitué sur les ruines de l’après-guerre dans la région de Hiroshima. Dans le monde des yakuzas, le code de l’honneur a disparu pour faire place à la loi du plus fort. |
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