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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray La Maison des étrangers):
"La Maison des Etrangers n'est peut-être pas considéré comme le chef-d'oeuvre de Mankiewicz, mais Dieu sait qu'il s'agit d'un grand film. J'ai pris un pied terrible avec le récit de cette famille de banquiers ritals dans les années 30, avec un extraordinaire Edward G. Robinson en pater familias qui mène son monde à la baguette." Shangols "La transition vers le flash-back, avec cette caméra qui monte lentement les escaliers de la demeure familiale sur un air d'opéra, c'est tellement beau et envoûtant qu'on se croirait dans Le Parrain en noir et blanc - soulignons d'ailleurs au passage, tant qu'on y est, la sublime photo de Milton R. Krasner." Shangols "Nombreuses sont les séquences durant lesquelles on jubile, et on se plaît à croire que des gars comme Scorsese ou comme Coppola ont su en apprécier l'un toute la truculence, l'autre la causticité." Shangols "Mankiewicz oppose la personalité de Gino Monetti, usurier de luxe, à celle de ses fils, symboles d'une nouvelle génération d'immigrés, entièrement intégrés à la société américaine." Cine Club de Caen "La Maison des Etrangers avait beau être, dans l'intention de Mankiewicz, un film noir destiné à lui faire apprendre les ficelles du métier, il véhiculait d'intéressants prototypes, notamment dans le fait d'utiliser l'intrigue pour construire un puzzle avec narration comme il aime tant les faire. Celui-ci aborde d'autres thèmes, qui sont passionnants, et qui renvoient aussi bien à la Bible, à Shakespeare, qu'à des valeurs Américaines : on parle ici de rêve Américain, de meurtre symbolique du père et de partage de la dépouille et d'ascension suivie de chute." allen john's attic "On a pu reprocher à Mankiewicz l'aspect "théâtre filmé" de son cinéma. Il est vrai que dans tous ses films transpirent ses anciens métiers de scénariste et dialoguiste (la construction par flash-back, l'usage de la voix off, les dialogues très finement ciselés). N'empêche, c'est un vrai raconteur d'histoires et, comme le dit Godard, c'est « un des plus brillants réalisateurs américains... et l'homme le plus intelligent de tout le cinéma contemporain. »" Avoir Alire |
Synopsis usuel:
A sa sortie de prison, l'avocat Max Monetti, retrouve sa fiancée, Irène, et ses trois frères. Il se souvient des raisons de son emprisonnement sept ans auparavant. Il avait alors tenté d'acheter un juré pour faire acquitter son père, un banquier accusé de pratiques illégales et usurières, et fut dénoncé par l'un de ses frères. |
La Maison des étrangers est un film en noir et blanc. Sortie ciné : 10 février 1950 Festival de Cannes 1949 : Prix d'interprétation masculine (Edward G. Robinson). |
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