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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Lucie Aubrac):
"Claude Berri cherche manifestement à faire oeuvre de mémoire. L'histoire de ce couple engagé dans la Résistance permet aux spectateurs de s'identifier plus facilement à leur combat, contre l'oppression, les discriminations, l'injustice." Historicoblog "La réalisation privilégie cependant une bonne dose d'action : ainsi le film commence sur une scène de sabotage de voie ferrée, un "classique" résistant. Le propos alterne entre scène spectaculaires - arrestation de Caluire, libération de Raymond Aubrac - et des scènes plus émotionnelles." Historicoblog "Ce film tient plus du catalogue de vignettes que d'une oeuvre pédagogique ou alors, c'est une leçon d'histoire en images simplifiées pour classe de cm1. La faute au scénario qui privilégie le geste d'amour certes magnifique d'une femme aux raisons complexes qui font que cet homme est emprisonné. Pas grand-chose des tenants et des aboutissants historiques et politiques de cette situation. Simplement des instantanés photogéniques." Les Inrocks "Il y a bien des maladresses dans le récit, des scènes qui frôlent l'académisme du « film de Résistance », mais, pour l'essentiel, Claude Berri s'est mis au diapason du livre qui l'a inspiré : il montre plus qu'il ne démontre, avec un souci manifeste d'honnêteté et de sobriété." Telerama "Le réalisateur Claude Berri : « Pour moi, le plus important dans un film c'est l'émotion que je communique au spectateur. »" Rhone Alpes Cinema "Mêlant héroïsme et amour, l'histoire de Raymond Aubrac, chef militaire du mouvement Libération-Sud, sorti deux fois de prison par l'ingéniosité et le courage de sa jeune femme, a acquis un statut emblématique. (...) Mais dans ce film, leur mythe est réduit à une bluette (...). Outre sa médiocrité cinématographique, le Lucie Aubrac de Claude Berri, qui se borne à mettre en scène les prouesses d'une femme amoureuse, a vidé de leur dimension historique les deux personnages. La petite histoire a pris la place de la grande, reléguée à l'état de vague décor." L'Express "Remarque : le récit proposé par Lucie et Raymond Aubrac de ce qu'ils ont vécu en 1943 a varié au cours du temps. Ainsi, on ne sait pas trop qu'elle a été la réalité historique." Guide Rapide "La sortie du film a alimenté le débat houleux, à l'époque, autour de certaines questions sensibles de l'histoire de la Résistance. L'historien Olivier Wieviorka reproche ainsi au film de Berri de ne pas évoquer les querelles politiques au sein de la Résistance, et il est vrai que le réalisateur attribue à Jean Moulin des phrases qui prêtent à sourire (...). Le même historien s'inquiète que le film passe pour une sorte d'oeuvre absolue sur la Résistance et soit conseillé aux classes scolaires." Historicoblog "Le film propose René Hardy comme traître ayant dénoncé Jean Moulin. Mais après la guerre René Hardy a été jugé lors de deux procès et a été acquitté les deux fois. De plus, Gérard Chauvy, qui a effectué un gros travail d'historien, a étayé une hypothèse surprenante, se basant entre autres sur les déclarations de Klaus Barbie : ce dernier déclarait que Raymond Aubrac était en réalité un agent double qui travaillait pour ses services et qui aurait été à l'origine de l'arrestation de Jean Moulin." Guide Rapide |
Synopsis usuel:
Lyon, mars 1943. Raymond Samuel (Aubrac dans la clandestinité) et Lucie, sa femme, sont engagés dans la résistance. Le 21 juin, Raymond est arrêté, en même temps que Jean Moulin. La passion amoureuse de Lucie la pousse à tout tenter, à tout entreprendre, pour arracher son mari des griffes de la Gestapo. Elle s'engage alors dans des actions, mêlant le romanesque à la violence qui semblent sortir de l'imagination du plus inventif des romanciers. Pourtant, le film est inspiré de l'histoire vraie de Lucie Aubrac. |
Sortie ciné : 26 février 1997 Box office France: 1 708 050 entrées cinéma |
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