|
|
|
vod
dvd
|
Il n'y a pas de vidéo disponible. |
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie Au royaume des cieux):
"Au Royaume des Cieux n'est pas seulement un énième film sur l'univers carcéral au féminin, mais un affrontement permanent entre le Bien et le Mal, la perversité viscérale de la directrice trouvant son exact contrepoint dans la pureté foncière de Maria." L'aide Mémoire "Les personnages sont très stéréotypés et le propos sur l'éducation des jeunes délinquantes est sans intérêt car développé de façon simpliste, mais cela importe peu car ce n'est pas le réalisme social qui préoccupe Julien Duvivier, également auteur du scénario. Le carton en exergue précise d'ailleurs que Au Royaume des Cieux n'est aucunement un « reportage romancé ». Le cinéaste a en fait utilisé les maisons de redressement comme contexte et prétexte pour une allégorie sur la pureté introduite en milieu vicié." films nonutc "On a longtemps injustement méprisé Julien Duvivier, considéré à tort comme un cinéaste académique et sans originalité. On redécouvre peu à peu la force et la singularité de son oeuvre. (...) En 1949, Duvivier signe ce très étrange Au Royaume des Cieux, une sorte de retour au réalisme fantastique de Carné et Prévert, avec Henri Jeanson aux dialogues. (...) Brutalité de la surveillante, érotisme maladif des jeunes filles, sadisme, suicide, le monde fiévreux de Duvivier est entièrement là, avec sa caméra fonceuse et sa profondeur de champ wellesienne." Liberation "Dans Au Royaume des Cieux, la musique est remplacée par des effets sonores très travaillés : bruits de cloche, d'eau - inondation, pluie - aboiements, cris d'oiseau ou chants dans le lointain." Cine Tom "La critique n'apprécia guère les grosses ficelles qui supportaient, selon elle, le scénario. L'Humanité se déchaîna : "Ce "roman" n'est qu'un bric-à-brac de thèmes chers au cinéma américain contemporain, de vieux poncifs de mélodrames français et de quelques thèmes qui viennent tout droit du nazisme : belle salade "occidentale" comme on voit. Précisons. Influence américaine d'une part, les thèmes du refoulement, des êtres traqués, des mensonges comme défense de l'individu contre la société, hystérie collective, amours troublés, et, d'autre part, le goût du larmoyant, la sainteté opposée au vice et l'inévitable fin où tout semble s'arranger et rentrer "dans l'ordre". Emprunts au mélodrame français, personnages de la pure et naïve orpheline victime de la méchanceté humaine (...) Cette histoire peinte à la boue et à l'encre noire par Julien Duvivier est des plus conventionnelles et fausse d'un bout à l'autre... Les dialogues de Jeanson, prétentieux et vulgaires comme d'habitude, accentuant le caractère artificiel de cette oeuvre caractéristique d'une classe sociale à l'agonie qui se vautre dans sa propre pourriture"." Cinematheque - L'Humanité |
Synopsis usuel:
Subissant la rude discipline d'une maison de redressement, une orpheline s'éprend d'un jeune ouvrier. |
Au royaume des cieux est un film en noir et blanc. Sortie ciné : 30 septembre 1949 Box office France: 2 609 234 entrées cinéma |
|
|