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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd La Charrette fantôme):
"Réalisé en 1939 par Julien Duvivier, La Charrette Fantôme est, depuis sa sortie, considéré, à juste titre, comme l'un des fleurons du cinéma fantastique hexagonal. Mais peut-être plus encore qu'une oeuvre fantastique, le film de Duvivier est une saisissante peinture sociale, une plongée dans la misère." Dvd Critiques "La France de 1938 (année de tournage) se ressent encore de l'importante crise économique qui a frappé le pays à partir de 1931, et qui se double d'une crise politique après la fin du Front Populaire." Tortilla Films "Revêtant un intérêt à la fois cinématographique (esthétiquement, le film est un sans faute) et historique (le métrage est une puissante métaphore sur son époque), La Charrette Fantôme est une oeuvre à (re)découvrir. Un classique tout sauf poussiéreux." Dvd Critiques "Julien Duvivier imprègne son film de thématiques religieuses au travers de la relation qui se noue entre l'irascible David Holm et Soeur Edith. Il est alors question de don de soi, de rédemption et de pardon. David n'est plus que haine envers la société à laquelle il reproche son incapacité à exercer son métier." Tortilla Films "« Le travail ça salit, ça fatigue et ça déshonore, dit l'un des personnages du film. Est-ce que ça a jamais rapporté des sous à personne ? Les riches, est-ce que ça travaille ? »" Liberation "Le scénario de monsieur Duvivier est pléthorique. L'intérêt s'éparpille entre des personnages de second plan dont les aventures nous sont rapportées avec le même luxe de détail que celles des trois héros. Cette accumulation d'épisodes secondaires déséquilibre le récit. De plus, il y a, dans le film parlant, un élément de matérialité qui le rend moins propre que le film muet au développement de sujets fantastiques." La Cinematheque Française - Gringoire - 1939 "Le film commence mal, par le survol des toits d'une ville, un décor de pâte d'amande à peine camouflé, et ça finira plus mal encore, avec Pierre Fresnay en fantôme et Louis Jouvet en « grande faucheuse », chuchotant pendant plus d'un quart d'heure en surimpression. (...) Duvivier, le « cinéaste du pessimisme », va sauver in extremis un être déchu, contrer la fatalité à grands coups de sacrifices, de rédemption, d'exorcisme collectif et d'une fin au lyrisme abracadabrant." Liberation |
Synopsis usuel:
En cette nuit de Noël, George, clochard anarchiste, n’a qu’une crainte : mourir au 12ème coup de minuit pendant la nuit de la Saint-Sylvestre et devenir le charretier de la mort de l’année qui commence... |
La Charrette fantôme est un film en noir et blanc. Sortie ciné : 14 janvier 1940 |
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