Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Opium):
"Avec cette comédie musicale, Arielle Dombasle rend hommage à Cocteau, célébrant les codes esthétiques de l'un de ses maîtres à penser. (...) Aux accents surréalistes, Opium met en scène les amours contrariées de Jean Cocteau et de l'écrivain Raymond Radiguet." L'Express
"Fidèle à l'esprit de Cocteau au point de n'utiliser que des textes de lui (dont "Opium, journal d'une désintoxication"), Arielle Dombasle en-chante son sujet - le film est une comédie musicale -, mêle avec bonheur audaces d'époques et états d'âme, sentiments et création, délires opiacés et hommage à la mythologie, jusqu'aux dessins de l'artiste reproduits en temps réel." Nouvel Obs
"Objet bizarroïde pour happy few, potentiellement agaçant mais jamais rasoir, Opium dégage le charme étrange et capiteux d'une certaine liberté." Telerama
"Inspiré du journal que Cocteau a tenu pendant sa cure de désintoxication, après la mort du jeune Raymond Radiguet, ce film permet d'apprécier la fantaisie d'Arielle Dombasle pour rendre hommage au poète. Elle joue et elle chante, mais surtout elle invite du beau monde à l'écran (...) Des petits rôles, « mais tenus par des êtres inspirés », insiste Arielle Dombasle." 20 Minutes
"Les ricaneurs en auront malheureusement pour leur argent avec ce long métrage atypique mais très maladroit. Il y a une admiration midinette qui ne rend pas forcément hommage à Cocteau dans cet Opium, une minauderie généralisée qui crispe. Opium s'appuie trop sur ses seuls effets de dialogues et paraît toc en permanence." Film de Culte
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Synopsis usuel:
Au tout début des années 1920, Jean Cocteau, poète de 30 ans au talent déjà reconnu mais contesté (en particulier par les Surréalistes et André Breton) croise le chemin du tout jeune Raymond Radiguet, encore étudiant et qui vient de terminer son premier roman, « Le diable au corps ». Au coeur du Paris intellectuel et mondain une histoire d’amour contrariée et éphémère se noue, avec la mort de Radiguet à 23 ans en point d’orgue, et la fuite de Cocteau dans l’opium…
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