|
|
|
vod
dvd
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd La Malédiction d'Edgar):
"Entre fiction et images d'archives, l'écrivain Marc Dugain prend appui sur son best-seller pour raconter le stratège politique que fut Hoover, patron du FBI, et percer sa personnalité énigmatique." Orange "La Malédiction d'Edgar, best-seller de Marc Dugain, se penche sur la face noire de l'Histoire américaine et exhume certains dossiers classés confidentiels : le lobby juif, la chasse aux communistes, le trucage systématique des élections présidentielles ou l'assassinat de John F. Kennedy, pour lequel sont proposées de nouvelles pistes tout à fait crédibles." Avoir Alire "Le livre et le film s'appuient sur un travail de documentation considérable." Telerama "Dugain adapte son propre roman : « Il fait 450 pages. Je me suis focalisé sur 80 pages, en essayant de garder la même dramaturgie, la même intensité psychologique ». On aime le film pour son parti pris intime. Edgar Hoover, grand prêtre du FBI, était mangé d'ombres et de secrets, obsédé par sa puissance. Seul son adjoint, Clyde Tolson, connaissait ses tumultes intérieurs." L'Express "Dans le film, Dugain centre sa dramaturgie sur le conflit qui a opposé Edgar Hoover au clan Kennedy au début des années 60. Le point de vue adopté est celui de l'adjoint (et amant) de Hoover, Clyde Tolson. Le roman et le film ne sont pas tendres avec le mythe JFK (John Fitzgrald Kennedy)." Guide Rapide "John et Robert Kennedy étaient d'indécrottables cyniques, grossiers et arrogants, qui portaient en eux un péché originel : la fortune douteuse du paternel, Joe, étroitement liée à la Mafia. Mafia sans laquelle John, malgré sa belle gueule et son brushing impeccable, n'aurait jamais été élu. N'est-il pas révoltant que cet obsédé sexuel de John, misogyne à sa façon, passe aux yeux du monde pour un gendre idéal ? Evidemment, ça décape. Ceci d'autant plus méchamment que des images d'archives, en particulier des Kennedy dans l'intimité, se mêlent avec une fluidité remarquable aux scènes de fiction : autant d'irruptions du réel qui ajoutent aux propos de Tolson le vernis de la véracité." Telerama "Le montage est de la haute couture, de l'enluminure côté photo, pastel et soyeuse comme les films américains de l'âge d'or. « Le directeur de la photo a travaillé avec Visconti, Pollack et Fellini. Il a retrouvé le Technicolor des années 1960 tel que je le rêvais. »" L'Express |
Synopsis usuel:
Ce film est une fiction documentée sur le conflit entre Hoover et Kennedy. « J'avais une profonde aversion pour les Kennedy. Je considérais comme une imposture le décalage entre l'image qu'ils renvoyaient et la réalité. Depuis mes premiers jours au FBI, j'avais croisé de sacrés vicieux. Mais rien en comparaison de cette tribu irlandaise... » Ainsi parle Clyde Tolson, le bras droit et amant du tout-puissant John Edgar Hoover, l'homme qui, à la tête de l'agence fédérale, a mis l'Amérique sur écoute durant les mandats de huit présidents, de 1924 à 1972. Au seuil d'une vie passée aux premières loges de la grande histoire, son compagnon mort et enterré, Tolson crache sa bile distinguée dans ses Mémoires, un tombereau de révélations explosives propres à dynamiter la belle légende des Etats-Unis. |
|
|