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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie Play):
"Play, film qui bouscule les clichés racistes, a soulevé une vive polémique en Suède. Ses protagonistes, Noirs pauvres et Blancs de la classe moyenne, jouent avec les préjugés du public pour mieux les questionner." Vox europ "Play va plus loin qu'une simple histoire de vol de téléphones portables. (...) Östlund traite la notion de groupe, sa dynamique, son influence sur l'individu. (...) La terreur qui s'empare de quelques gamins pèse alors comme une boule de bowling dans le ventre. Il en résulte un film d'une violence inouïe alors même que celle-ci est souvent absente de l'écran." Film de Culte "Le discours rôdé des racketteurs ne précise jamais la menace mais la rend de plus en plus sensible. Subtile, leur rhétorique fait du prétexte initial offert par le portable le point de départ d'un asservissement progressivement établi. Le jeu des cinq garçons consiste à réveiller et annuler alternativement les réflexes des enfants pris dans leur toile. A jouer et déjouer simultanément les peurs de la société dans laquelle les jeunes vivent." L'Obs "Certaines critiques mettent en avant l'idée que le film serait raciste, car les jeunes racketteurs sont tous noirs." Guide Rapide "La plupart du temps, le réalisateur plante sa caméra et ne la bouge plus, captant même parfois après une action des écrans vides de personnages. L'effet de claustrophobie qui en résulte concourt à faire monter la sensation qu'une tragédie se joue du point de vue des jeunes enfants. On peut aussi trouver le procédé désagréable, rendant le rythme du film bien trop lent." Guide Rapide "J'ai maté le film suédois polémique de Rupert Opshülsnd, et ça m'a un brin fait chier. (...) Un racket qui dure deux heures et qui prend tantôt des allures de bizutage, tantôt celles d'une cache-cache dans la campagne ou d'une chasse au trésor, ça m'a pas paru crédible une seconde." Il a osé |
Synopsis usuel:
Play est une analyse fine inspiré de cas réels. Entre 2006 et 2008, en plein centre ville de Göteborg en Suède, un groupe de garçons âgés de douze à quatorze ans racketta d’autres enfants à plus de quarante reprises. Par le biais d’un savant jeu de rôles qui reposait sur l’usage d’une rhétorique de gang, les voleurs avaient mis au point une stratégie élaborée connue sous le nom de « coup du petit frère », n’impliquant aucune violence physique. |
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