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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Horns):
"Horns est un vrai mashup de pleins de genres qu'Aja prend plaisir à mélanger : mythologique, gore, comique, thriller, drame... On rit fort devant certaines scènes, juste avant d'enchainer sur une véritable enquête policière et des délires gores plein de serpents et de créatures maléfiques." Films-Horreur.com "La grande réussite d'Alexandre Aja, c'est de savoir mixer les styles et les ambiances. Si le ton général du récit est résolument sombre, certaines séquences viennent apporter des touches de lumière, teintées d'un certain onirisme qui renforcent l'impression d'assister à un conte de fée. D'autres se veulent résolument drôles." Ciné Séries "L'audace exaltante du film tient au choix de personnage : non pas un héros valeureux comme le cinéma young adult en produit à la chaîne, mais un monstre qui, pour prouver son innocence et accomplir sa destinée sentimentale, devra “épouser ses démons”, soit foutre le feu dans une petite ville américaine. C'est là qu'Aja s'amuse le plus, dans ce portrait multiple d'une société détraquée, dont il saisit les désirs refoulés (des mères infanticides, des obsédés sexuels...) à la faveur de scènes au comique morbide réjouissant." Les Inrocks "Horns est certainement l'une des meilleures surprises de cette année 2014. Notamment parce que son scénario est particulièrement abouti et assume parfaitement, en plus de ses aspects fantastiques, son penchant romantique échevelé." Abus de Cine "Horns est principalement un drame : il aborde plusieurs sujets difficiles tels que le deuil, la trahison, la jalousie, etc. Et cela donne une certaine portée au film (...). Au-delà du drame, le film est touchant : l'histoire d'amour entre Ig et Merrin que nous suivons en filigrane saura ravir les spectateurs amateurs de romance." Poudlard.org "Alexandre Aja fait, une fois encore, la démonstration de son impressionnant talent de réalisateur. Immergé dans l'histoire par une photographie superbe et un montage crépitant, le spectateur fait l'expérience sensorielle d'un cauchemar reflété dans les vastes yeux de Daniel Radclife, acteur mature au charisme toujours aussi ensorcelant." Paris Match "Horns est avant tout sublimé par la magnifique mise en scène d'Alexandre Aja. Une réalisation quasi parfaite, une photographie de qualité. C'est le véritable point fort du film. Mais Alexandre Aja réussit aussi à nous faire croire à cette histoire assez sordide. Franchement voir un mec qui a des cornes et que personne ne trouve ça choquant c'est assez guignolesque, et pourtant ici ça fonctionne." Cinephilia "Cette histoire à dormir debout qui mélange allégrement les références bibliques tente de fusionner le cinéma gore cher au réalisateur à un univers lynchien. Un grand écart pour le moins risqué." Critikat "A vrai dire, Radcliffe n'a pas grand-chose à se reprocher. L'acteur est puissant, même dans un rôle mineur comme ici, qu'il transcende avec des écarts entre le drame, la tragédie personnelle et le second degré sarcastique, à chaque fois réussi. C'est plutôt Aja qui loupe le coche, dans une mise en scène trop référentielle, même dans ses délires. Le réalisateur, têtu, donne vie jusqu'à l'excès aux fantasmes cinéphiles du grand enfant qu'il est et qui refuse de sortir de la nostalgie du cinéma passé (encore un hommage à Stand By Me d'après Stephen King, et au cinéma de Spielberg, un de plus)." Avoir Alire "Avant de terminer son film dans un délire total, Alexandre Aja nous impose une trame policière pas vraiment retorse - on voit venir le méchant à des kilomètres -, des flash-back sentimentaux beaucoup trop angéliques et pas mal de bavardages. On l'a connu plus féroce." Telerama "Aja s'éloigne encore un peu plus de ses premiers amours horrifiques... (...) En mélangeant les genres, le cinéaste les rend complètement inefficaces et casse tout dynamisme et suspense à l'histoire. Le fantastique devient grotesque, la comédie ne fait rire personne et la love story purement explicative... Le film est maladroit et devient très vite ennuyeux." No Pop Corn "Il manque une qualité au film : des personnages bien écrits. Car vu la profusion de personnages simplistes dans Horns, j'ai parfois eu du mal à rentrer dans l'histoire. Il faut dire que le héros en prend plein la gueule dès le départ et sans vraie raison. Pas une seule seconde, son entourage ne semble douter de sa culpabilité." Marvelll "L'enquête parvient difficilement à capter l'attention du spectateur tant la parenté avec Twin Peaks est prononcée. Tout gravite autour de la jeune Merrin qui, comme dans l'oeuvre de David Lynch, sera l'incarnation du désir masculin (tout le monde est amoureux de Merrin. Mais bon, faut les comprendre, y a que deux meufs dans la ville...). David Lynch avait toutefois su envelopper son intrigue d'un mystère insondable et instaurer une ambiguïté autour du personnage de Laura Palmer. Une complexité que refuse Alexandre Aja, préférant un personnage lisse et angélique." Au Coeur de l'Horreur "Le duo de tourtereaux légumineux (Daniel Radcliffe n'est pas crédible une seule seconde en maverick assoiffé de vengeance et le talent de Juno Temple se résume à sa magnifique paire de nichons, qu'elle expose vulgairement de films en films) plombe définitivement ce truc à l'intrigue grotesque (on comprend tout tout de suite). (...) Bref, Horns est une abomination. Un délire évangéliste enseveli sous une imagerie démoniaque faussement subversive. À ce jour le pire film d'un Alexandre Aja bien parti pour devenir le plus grand tâcheron de sa génération ! " Dailymars |
Synopsis usuel:
Soupçonné d’avoir assassiné sa fiancée, rejeté par tous ceux qu’il connaît, Ignatius a sombré dans le désespoir. Un matin, il se réveille avec des cornes sur la tête. Celles-ci lui donnent un étrange pouvoir, celui de faire avouer leurs plus noirs secrets aux gens qu’il croise. Ignatius se lance alors à la recherche du véritable meurtrier… |
Sortie ciné : 1er octobre 2014 Box office France: 194 539 entrées cinéma |
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