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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Suicide Club 2 - Noriko's Dinner Table):
"Si les événements du premier film sont évoqués, ils ne le sont qu'en filigrane, pour parfaire l'ambiance d'apocalypse intime que l'auteur compose avec une maestria presque sadique." Rue 89 Lyon "Tout à la fois extrême et bouleversant, Noriko's Dinner Table est un parfait complément à Suicide Club, un film plus mûr et abouti que son ainé, même si Shion Sono n'abandonne pas totalement ses petits grains de folie et quelques débordements gores (le final)." CineGeouf "Si l'intrigue de Noriko's Dinner Table évolue autour de la fameuse scène d'ouverture de Suicide Club (et sa cinquantaine de lycéennes se jetant sous le métro), Sono choisit un traitement très différent pour cette « fausse » séquelle. Le but n'est pas tant de frustrer le spectateur que d'ajouter un film encore différent à une filmographie déjà variée et passionnante." Devil Dead "Noriko's Dinner Table est l'occasion pour le réalisateur de verser dans une forme de cinéma très littéraire. Adapté de l'un de ses romans, Noriko's Dinner Table est effectivement un film de mots. Formaliste inspiré, Sono se désintéresse ici du visuel pour signer un film tourné en DV et la plupart du temps caméra à l'épaule. Le film est de plus très peu découpé et se contente de « capturer » assez frontalement l'action. Le récit n'est pas mené par l'image, mais par les voix des personnages. Des voix intérieures omniprésentes, en voix-off parfois au dessus des dialogues des séquences, et qui charpentent l'approche très écrite du film. Si écrite que l'image n'en devient qu'une illustration, parfois volontairement redondante." Devil Dead "Les péripéties ont beau s'enchaîner avec une radicalité de plus en plus soutenue dans la violence morale, le côté aérien et délicat de la mise en scène apporte systématiquement son paisible contrepoint." Rue 89 Lyon "Après le succès du film Suicide Club, Shion Sono écrit lui même un roman, Suicide Circle : The Complete Edition, en Avril 2002. Le roman, qui n'est jamais sorti en dehors du Japon, serait en quelque sorte une histoire regroupant à la fois Suicide Club et Noriko's Dinner Table, et le film en serait en quelque sorte l'adaptation. Au vu du métrage, à la durée conséquente (2h40), aucun doute là dessus, le métrage conserve d'ailleurs tous les effets de styles possibles d'un roman. Narration constante en voix off par les différents personnages, découpage en chapitres, traitants à chaque fois d'un personnage différent." HK Mania "Si le thème abordé ici est proche de Suicide Club, la forme choisie n'a plus rien à voir : (...) disparition des effets gore et excentriques, ou encore voix off permanente qui relate de bout en bout les pensées des différents protagonistes. La conclusion du film fait cependant autant froid dans le dos. Pour Sono Shion, les générations n'arrivent plus à communiquer entre elles. Un père absorbé par son travail, une mère effacée, 2 filles mal dans leur peau qui chattent sur le web, puis fuguent loin de cet univers ennuyeux à mourir. La famille japonaise traditionnelle se décompose (...)" Cinemasie - Ghost Dog "Le fait que ce second film soit plus clairement structuré, plus posé, permet de mieux appréhender ses thématiques. Cette fois on a des personnages auxquels s'attacher. L'étrange entreprise de Kumiko, qui propose des « familles en location », d'abord étonnante et sympathique devient rapidement inquiétante, tout en posant la question cruciale (pas seulement japonaise malheureusement) de l'isolation des gens dans la société actuelle." CineGeouf |
Synopsis usuel:
Ne supportant plus l’environnement familial et après avoir intégré une étrange communauté sur Internet, Noriko Shimabara, le 10 décembre 2001, quitte Toyokawa pour Tokyo. Le 26 mai 2002, 54 jeunes filles se jettent sous un train. Après cette terrible nouvelle, la soeur de Noriko, Yuka, disparaît à son tour. Le père décide alors de partir à la recherche de ses filles et va découvrir une terrible vérité, une vérité qui dépasse l’entendement… |
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