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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray A Most Violent Year):
"Conquête, réussite, morale, violence... Le réalisateur JC Chandor mêle les grands thèmes du cinéma américain dans ce polar superbement maitrisé, sophistiqué sans jamais être clinquant. Le rythme est calme, comme un corps engourdi par le froid de l'hiver, l'affaire est captivante." Paris Match "A Most Violent Year nous ramène dans le New York hivernal de 1981, alors que la ville souffrait d'une montée de la criminalité. (...) ce film est un thriller social habile." Les Inrocks "A Most Violent Year s'inscrit ainsi dans la lignée de Margin Call (2011), premier film du réalisateur, comme critique acerbe d'un capitalisme agressif où domine la loi du plus fort." Ciné Séries "Le rythme est volontairement lent pour faire monter la tension comme un étau qu'on serre lentement, plongeant le spectateur dans le même état de stress que le personnage d'Abel. (...) La violence est montrée de façon brève et brutale." No Pop Corn "A Most Violent Year prend son temps pour installer le décor et ses personnages. Abel, sa femme, le procureur, le chauffeur, l'avocat... tout ce petit monde et ses mécaniques (celles du milieu du fret pétrolier new-yorkais peuplé de malfrat) sont brillamment sculptés. Il fait naître une âme en chacun de ses personnages en rien de temps à travers des dialogues ciselés. Chaque scène a un propos précis et chaque dialogue sa portée. J.C. Chandor déploie une mise en scène classieuse, classique mais sans aucune fausse note." Abus de Ciné "On pourrait qualifier A Most Violent Year de film "interne" tant le réalisateur s'échine à montrer l'invisible, les déchirements de la conscience, le combat intérieur qui fait rage à travers un être humain ordinaire ou presque, lorsqu'il est en proie au pouvoir." Avoir Alire "Tout est cinéma dans A Most Violent Year. Tout sert le cinéma. Tout exalte le cinéma : le manteau beige un peu voyant du héros, qui, soigneusement plié sur le canapé de son futur débiteur, ressemble à la dépouille de ses illusions. Le souffle rauque d'un employé sur le point de commettre l'irréparable. Et la beauté de New York, contemplée, dans un éclairage doré et poisseux, par Abel en route vers le succès. C'est cette foi absolue dans le cinéma d'auteur, dans ce que ce cinéma a toujours voulu, pu, su exprimer que le film est magistral. Excitant et indispensable." Telerama "A Most Violent Year est un truc improbable (quel scénario anti-commercial ! ). Un hommage subtil et étourdissant (la mise en scène est à la fois classique et délicieusement stylée, toute en fureur contenue) aux grandes oeuvres de Lumet (le déchirant A bout de Course), de Scorsese (Mean Streets et Les Affranchis) (...). Et également le portrait en creux (et très acerbe) d'une Amérique (éternellement ? ) dévorée par la corruption et la violence." Daily Mars "A New York, en cette année 1981, on recense plus d'un million de crimes, des centaines de meurtres et de viols. Les années 1980, à Big Apple, furent terrifiantes..." Telerama "L'insécurité est le prix à payer dans un pays où les armes à feu sont en vente libre. « Quand j'écrivais le scénario, il y a eu une fusillade dans un lycée à 15 minutes de chez moi, se souvient Chandor. Après cela, l'école de ma fille a mis un garde armé à l'entrée. Malheureusement, cela n'empêchera pas un jeune sociopathe de 19 ans de faire un carnage. »" Le Figaro "A Most Violent Year garde un rythme trop uniforme sur la durée, ainsi quand arrive la fin on reste un peu sur la nôtre (de faim). Je m'attendais à un crescendo de tension et à une résolution plus dramatique qui aurait élevé le film au rang des classiques des années 70 qu'il émule." No Pop Corn |
Synopsis usuel:
1981, l’année la plus violente que New York ait jamais connue. Abel Morales, un self-made man ambitieux, et sa femme Anna, sont sur le point de signer un contrat déterminant pour leur société. Si leur capital provient de sources illicites, Abel tient à s’enrichir en toute honnêteté. Mais rester intègre n’est pas chose facile dans une ville où règnent criminalité, corruption et Mafia… |
Sortie ciné : 31 décembre 2014 Box office France: 335 423 entrées cinéma |
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