|
|
|
vod
dvd blu-ray
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Foxcatcher):
"Foxcatcher ne ressemble à aucun autre film américain récent : il s'agit de l'adaptation d'un fait divers fascinant et aberrant des années 1980, l'histoire d'un sinistre milliardaire recrutant une team de champions de lutte libre dans son ranch isolé pour tenter de gagner l'or olympique des jeux de Séoul 1988. Plus qu'un film de sport, Foxcatcher est une sorte de thriller métaphysique vénéneux mettant en scène le duel qui oppose le monstre incarné par Steve Carrell et les frères Schultz." L'Obs "Ce fait divers, qui a défrayé la chronique en 1996, devient un thriller psychologique sombre et étouffant, où plane un sentiment de malaise permanent, dès l'apparition de Steve Carell. Son interprétation est monstrueusement terrifiante." Ciné Séries Mag "C'est la question du monstre qui donne à Foxcatcher une force de frappe encore jamais atteinte par le cinéaste : une déformation des peaux et des corps qui réduit, comme une épidémie, les personnages à des animaux, et leur quotidien à un corps à corps brutal et impur. C'est la meilleure idée du film, de Steve Carell et sa prothèse nasale invraisemblable, entre le vautour et la chèvre, à Mark Ruffalo en buffle avec son front démesuré, tandis que Channing Tatum, qui n'a pas besoin de maquillage pour ressembler à un taureau, gigote autour de ses deux pères de substitution comme un chien autour de son maître." Les Inrocks "Bennett Miller confirme qu'il est un extraordinaire directeur d'acteurs, exploitant le talent de chacun de ses comédiens, et c'est certainement cela que le jury de Cannes a voulu récompenser en lui attribuant le Prix de la mise en scène." Abus de Ciné "Ce récit d'un cas de paranoïa tirée d'une histoire vraie offre des rôles en or à Steve Carell, Channing Tatum et Mark Ruffalo. (...) Un ton de tragédie antique imprègne le récit, à peine tempéré par de rares instants d'humour." Avoir Alire "C'est le malaise qui prédomine de bout en bout de cette histoire incroyable qui finit par glacer le sang." Abus de Ciné "Foxcatcher est un coup de poing direct au foie, nous laissant au bord du ko, tant l'oxygène se faire rare." Ciné Séries Mag "Chacun finit par faire semblant, mentir, se mentir à lui-même, qui sait. Est-ce pour de vrai ou pour de faux ? De l'échauffement, de l'entraînement ou un vrai duel ? La force du film est de figurer ce jeu de manipulation à travers le langage direct, fascinant, des gestes. (..) Les prises, justement, sont ici habilement décortiquées et, avec elles, la mainmise, l'emprise. Le réalisateur filme des corps-à-corps aussi brutaux que tendres, chorégraphiques. De singuliers ballets où il s'agit d'empoigner son adversaire, de le ceinturer, de le faire tomber, sans pour autant le relâcher. Dans Foxcatcher, la lutte se confond littéralement avec l'étreinte." Telerama "Foxcatcher est aussi un beau film de fratrie, une vision inédite d'un sport peu exploité au cinéma et l'analyse d'une lutte qui va au-delà des tapis puisqu'il s'agit aussi d'une lutte des classes." Abus de Ciné "Il y a des choses magnifiques dans Foxcatcher, de la captation de l'amitié entre les deux frères lutteurs aux scènes terribles entre l'héritier-milliardaire et sa mère. Son discours sur le rapport entre les classes est d'une lucidité implacable." Paris Match "A travers ce drame, Bennett Miller apporte sa pierre à la démystification de ce pays, en mettant à mal le rêve américain." Ciné Séries Mag "Le point faible du film est qu'il faut savoir apprécier sa mise en scène très lente. Sans parler d'une absence presque totale de musique, mais qui met en valeur les dialogues qui sont pour la plupart très prenants." No Pop Corn |
Synopsis usuel:
Inspiré d’une histoire vraie, Foxcatcher raconte l’histoire tragique et fascinante de la relation improbable entre un milliardaire excentrique et deux champions de lutte. Lorsque le médaillé d’or olympique Mark Schultz est invité par le riche héritier John du Pont à emménager dans sa magnifique propriété familiale pour aider à mettre en place un camp d’entraînement haut de gamme, dans l’optique des JO de Séoul de 1988, Schultz saute sur l’occasion : il espère pouvoir concentrer toute son attention sur son entraînement et ne plus souffrir d’être constamment éclipsé par son frère, Dave. Obnubilé par d’obscurs besoins, du Pont entend bien profiter de son soutien à Schultz et de son opportunité de « coacher » des lutteurs de réputation mondiale pour obtenir - enfin - le respect de ses pairs et, surtout, de sa mère qui le juge très durement. Flatté d’être l’objet de tant d’attentions de la part de du Pont, et ébloui par l’opulence de son monde, Mark voit chez son bienfaiteur un père de substitution, dont il recherche constamment l’approbation. S’il se montre d’abord encourageant, du Pont, profondément cyclothymique, change d’attitude et pousse Mark à adopter des habitudes malsaines qui risquent de nuire à son entraînement. Le comportement excentrique du milliardaire et son goût pour la manipulation ne tardent pas à entamer la confiance en soi du sportif, déjà fragile. Entre-temps, du Pont s’intéresse de plus en plus à Dave, qui dégage une assurance dont manquent lui et Mark, et il est bien conscient qu’il s’agit d’une qualité que même sa fortune ne saurait acheter. Entre la paranoïa croissante de du Pont et son éloignement des deux frères, les trois hommes semblent se précipiter vers une fin tragique que personne n’aurait pu prévoir… |
Sortie ciné : 21 janvier 2015 Box office France: 160 086 entrées cinéma Festival de Cannes 2014 : Prix de la mise en scène. |
|
|