|
|
|
vod
dvd
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd J'ai vécu l'enfer de Corée):
"J'ai vécu l'Enfer de Corée ne contient nulle propagande, ni dans un sens, ni dans l'autre. Il s'inscrit davantage dans la lignée des films de troupes, délaissant la figure de l'ennemi au profit d'une description minutieuse du quotidien des soldats, où la mort côtoie la folie et la peur." Tortilla Films "Film sur le conflit coréen J'ai vécu l'Enfer de Corée est violent, convulsif, et allégorique." Olivier Père "Produit, écrit et réalisé par Samuel Fuller, J'ai vécu l'Enfer de Corée est un film moderne et sérieux, révolutionnant son genre par son approche avant-gardiste de la représentation des combats et dépassant les conventions de son époque pour nous plonger dans la « vraie » guerre sans jamais tomber dans le triomphalisme vulgaire mais coutumier du cinéma hollywoodien." Avoir Alire "Pour une somme dérisoire et une durée de tournage extrêmement courte (une dizaine de jours), Samuel Fuller réalise un film de guerre bluffant de maîtrise et éminemment personnel. Ses soldats, il les filme avec le pragmatisme et l'humour qui le caractérisent, sans afféteries ni pathos." Tortilla Films "Samuel Fuller, réalisateur atypique, filme un sujet qu'il ne connaît que trop bien : la guerre. Il a lui-même participé à la seconde guerre mondiale dans la célébre première division d'infanterie américaine, Big Red One. Il a notamment participé au débarquement des américains en Normandie, mais aussi aux débarquements en Afrique du Nord et en Sicile." Guide Rapide "A son retour au pays, il est décoré de la Silver Star, de la Bronze Star et de la Purple Heart. Fuller sera un des rares cinéastes à filmer la guerre (Corée ou Seconde Guerre mondiale) en sachant vraiment de quoi il parle." Olivier Père "Lorsqu'un vétéran avec de tels états de service se décide à réaliser un film de guerre, il n'est pas du tout surprenant que cela donne quelque chose dans le style de J'ai vécu l'Enfer de Corée : âpre, direct et sans concession. Hyper-immersif également. Ainsi Fuller ne s'embarrasse pas d'interminables scènes d'exposition des personnages et ne perds pas de temps à présenter la mission que le héros doit accomplir : le film débute sur un Zack aux abois, ligoté et rampant, seul en plein territoire ennemi, au beau milieu d'un monceau de cadavres. On comprend instantanément, sans que la moindre parole n'ait été prononcée, tout l'enjeu de la situation : rester en vie. D'autre part, Fuller met à profit sa parfaite connaissance de la vie au combat pour imprégner son film d'un rare réalisme." L'Ouvreuse "La recherche du réalisme est exemplaire (...). La composition de chaque plan est autant recherchée que travaillée. Même dans les séquences tournées en studio, la tension que ressentent ces soldats est palpable." Avoir Alire "Le film accentue la lâcheté des « rouges », leur caractère impitoyable de machines de guerre qui ne respectent ni Dieu ni les enfants. En somme, Samuel Fuller les montre comme des bêtes." Jean Dorel vise l'Asie "Hollywood s'est toujours caractérisée par son aptitude à très vite digérer les événements de son histoire récente. Alors que la guerre de Corée vient à peine de débuter, elle s'empresse de lancer un film sur le sujet. (...) J'ai vécu l'Enfer de Corée présentait a priori tous les atours du film de propagande, prompt à prêter le flanc aux critiques. Et cela n'a pas loupé ! A sa sortie sur le sol nord américain, le film fut effectivement décrié et accusé de propagande, non pas pro américaine, mais pro communiste. Douce ironie qui s'explique par la personnalité même de Samuel Fuller, profondément anti-militariste, et qui ne saurait se compromettre dans ce genre de panouille à la gloire de son pays. La grandeur de la nation, il n'en a cure. Il est avant toute chose intéressé par le facteur humain, qu'il dépeint ici dans toute sa complexité et ses contradictions. En ces temps de Maccarthysme effréné, il était particulièrement mal vu de ne pas dire ouvertement du mal de tout ce qui touchait de près ou de loin au régime communiste. Alors si en sus, vous égratignez la glorieuse étoffe du soldat américain, vous étiez automatiquement considéré comme un traître à la nation." Tortilla Films |
Synopsis usuel:
Durant la guerre de Corée, une compagnie entière est éliminée par les communistes. Le sergent Zack est laissé pour mort, les mains liées derrière le dos, livré à lui-même. Il sera libéré par Bouboule, un jeune Coréen, qui le guidera vers les lignes américaines. En chemin, ils rencontrent l’infirmier noir, Thompson, dont la section a été anéantie. Ils finissent par rejoindre une patrouille composée d’éléments très divers… |
J'ai vécu l'enfer de Corée est un film en noir et blanc. Sortie ciné : 30 avril 1952 |
|
|