|
|
|
vod
dvd blu-ray
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Hungry Hearts):
"On avance dans un récit plein d'imprévus, de changements de registre. Saverio Costanzo, cinéaste italien, (...) sait nous tenir en haleine, grâce une direction d'acteurs impeccable. D'elfe sensuelle à diablesse illuminée, Alba Rohrwacher est formidable." Telerama "Hungry Hearts déploie un climat toxique, s'amuse à pourrir son charmant postulat de départ. Le New York du début, celui des cantines asiatiques et des petits matins ensoleillés en amoureux, va devenir un théâtre sordide." Liberation "L'acteur Adam Driver fait preuve d'une vraie plasticité expressive et d'un talent indéniable pour illustrer le mélange entre la douceur de son personnage et la violence psychologique à laquelle celui-ci est soumis par son épouse, sur le fil d'une privation constante (de son fils, de sa femme, du monde extérieur)." Critikat "Plusieurs critiques du film notent que Hungry Hearts a des similitudes avec Rosemary's Baby de Roman Polanski, à cause de son côté film d'horreur psychologique." Guide Rapide "Hungry Hearts est moins un film d'horreur qu'un drame focalisé sur la phobie alimentaire. (...) Mina sera terrifiée à l'idée que son enfant sacré ingère des aliments impurs - notamment de la viande... Mais la mère n'est pas un croque-mitaine. La force du film est de ne pas charger un seul personnage. (...) Le monstre semble souvent être la mère, obsédée du bio style new-age, qui cultive ses propres légumes dans une petite serre sur le toit de son immeuble. Mais le mal pourrait aussi bien se trouver chez la partie adverse, celle du père apparemment raisonnable et de sa mère envahissante. Le cinéaste nous convainc tour à tour de la plausibilité des arguments des uns et des autres dans cette aventure gothique." Les Inrocks "Dans un final douloureux, sombre et âpre, qui enterre plus que jamais la comédie romantique des premiers instants pour côtoyer aisément les sommets de la tragédie, Savernio Costanzo frappe les esprits et confirme donc l'auteur italien majeur qu'il est devenu à 40 ans, en une poignée de fictions." Avoir Alire "C'est surtout au niveau du traitement d'une histoire pourtant prometteuse que l'on est en droit d'éprouver quelques regrets. (...) le film, au lieu de maintenir un regard équidistant sur les personnages, fait pencher la balance du côté d'un père irréprochable, si ce n'est par sa trop grande diplomatie et son trop grand amour pour son épouse. Qui elle, en revanche, apparaît comme caricaturale : Costanzo, à défaut de nous montrer la dimension évolutive du bouleversement que la maternité induit dans cette figure troublante, se cantonne à la mise en scène d'une mère murée dans son « instinct » et son amour maladif. Le spectateur finit par perdre toute empathie à l'égard de cette dernière, et donc toute compréhension, le seul enjeu étant l'attente impatiente du moment où le père aura le courage de se rebiffer." Critikat - Nicola Brarda |
Synopsis usuel:
Jude est Américain, Mina Italienne. Ils se rencontrent à New York, tombent fous amoureux et se marient. Lorsque Mina tombe enceinte, une nouvelle vie s’offre à eux. Mais l’arrivée du bébé bouleverse leur relation. Mina, persuadée que son enfant est unique, le protège de façon obsessionnelle du monde extérieur. Jude, par amour, respecte sa position jusqu’à ce qu’il comprenne que Mina commence à perdre contact avec la réalité. |
Sortie ciné : 25 février 2015 Box office France: 30 086 entrées cinéma |
|
|