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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Miami vice - Deux flics à Miami):
"Polar stylistique exemplaire, Miami Vice est une nouvelle preuve de l'immense talent de Michael Mann, cinéaste "blue note" par excellence qui filme les sueurs froides de ses personnages prisonniers d'une nuit sans fin." Avoir Alire "Plus que la série télévisée des années 80, dont Miami Vice est l'adaptation pour le grand écran, c'est surtout avec les précédents polars de Michael Mann que la comparaison s'impose. Tant mieux. Le Solitaire, Le Sixième Sens, Heat, Révélations, Collateral, et aujourd'hui Miami Vice, Mann a signé de magnifiques thrillers urbains dans lesquels chaque élément de la mise en scène semble procéder à une déréalisation d'un matériau documentaire. Les nappes sonores et musicales, les strates d'images flottantes, les plans hypercomposés parviennent à créer des films atmosphériques et planants, véritables rêves éveillés percés d'éclairs de violence." Les Inrocks - Olivier Père "Oubliez Deux Flics à Miami, la série des années 1980. Michael Mann, auteur de cette adaptation ciné, apporte ici son sens du tragique. Des deux personnages d'origine, il reprend les noms, les couleurs de peau et l'activité, mais c'est tout. Colin Farrell et Jamie Foxx tirent intensément la gueule. Ils ont une façon originale de faire croire à leur complicité : ils ne s'adressent pas la parole, pas besoin." Telerama "Depuis la série culte et flashy des années 1980, Deux Flics à Miami, Miami a changé. Le temps du clinquant et du m'as-tu vu, s'il n'a pas complètement disparu, a laissé place à une menace criminelle plus diffuse, plus souterraine. Miami Vice est donc un film de nuit, silencieux, presque austère. Les tout-puissants caïds de la drogue se cachent derrière leurs vitres fumées et délèguent les risques à leurs lieutenants. (...) Chacun avance en eau trouble, gentils comme méchants, avec ses propres informations. Sonny et Ricardo, les deux flics de Miami, infiltrent le monde du crime à tâtons." Critikat "Cher lecteur, (...) je vais te poser une question : as-tu déjà eu une surprise monumentale en allant voir un film qui te semblait déjà acquis avant même vision ? (...) je croyais que Miami Vice était un blockbuster pétaradant, sauf que mon cul sur la commode comme dirait l'autre. Parce que le film est beaucoup de chose, mais surtout pas ça. (...) Ceci expliquant cela, le film a sacrément bidé. Mais ce n'est pas étonnant (...). Et ce n'est pas que le film soit désespérément vide d'action, mais simplement qu'elle est noyée dans un tourbillon de romantisme badass et d'images d'un lyrisme certain." Celluloidz "Michael Mann annonce vite la rupture, avec la série bien sûr, mais également avec ce qu'a l'habitude de voir au cinéma un spectateur basique de blockbuster estival. Car Miami Vice a été vendu à sa sortie comme un gros film tout public, normal car le budget énorme (150 millions de dollars) devait être rentabilisé, ça a été une erreur terrible car le spectateur lambda du mois d'août ne s'attendait pas à ça et le film a été un échec... Pas assez d'action, c'est le reproche qui a été fait (...)." Film O Sphere "Miami Vice, ou comment transformer une série TV des années 80, symbole de la cool attitude en une oeuvre définitive, un monument qui prouve une fois de plus que Michael Mann est un des plus grands réalisateurs contemporains. (...) le point fort de Miami Vice n'est pas son scénario, convenu et sans surprise. (...) Pourtant malgré ces défauts qui handicaperaient n'importe quel réalisateur, Mann réussit l'impossible, en magicien de l'image ! Il faut dire que de la part de celui à qui on doit déjà Heat (peut-être le plus beau polar de l'histoire), (...) ça n'est pas vraiment une surprise ! " Film O Sphere "D'un côté, Michael Mann, peut être le plus grand cinéaste américain actuel, dont chaque nouveau film (...) approfondit un peu plus l'oeuvre et les thématiques, dont la personnalité transpire dans chaque plan, chaque scène; Michael Mann qui prolonge ses expérimentations formelles sur l'image et le son; Michael Mann qui introduit dans son film, comme il l'avait précédemment fait, des scènes romantiques d'une intensité rare. Dans ces moments, le cinéaste retrouve la beauté des plus beaux instants de Heat (la scène où Val Kilmer aperçoit sa femme au balcon, par exemple). De l'autre, un scénario anémique qui, s'il distille une belle ambiance, se révèle dénué de toute surprise, de toute profondeur, de toute personnalité." Film de Culte - Anthony Sitruk |
Synopsis usuel:
Miami… Deux agents fédéraux et la famille d’un informateur ont été sauvagement exécutés. Une nouvelle enquête commence pour Sonny Crockett et son coéquipier Ricardo Tubbs, leur mission : infiltrer l’une des plus puissantes organisations de trafic de drogue. Avec une certitude : la fuite qui a permis ce massacre provenait des sommets de la hiérarchie… |
Sortie ciné : 16 aout 2006 Box office France: 1 576 194 entrées cinéma |
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