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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Wake in Fright):
"A la lisière du fantastique, Wake in Fright nous montre un personnage plutôt rangé qui, le temps d'une escale, va tomber dans le jeu, l'alcool et la violence." Ciné Dingue "Attention, film de dingue ! Film malade ou film de malades. (...) on ne ressort pas tout à fait indemne de la vision de Wake in Fright, cet étrange film qui a une enviable et sulfureuse réputation de chef d'oeuvre obscur du cinéma australien (...). Force est de constater que nous ne sommes pas déçus, mais plutôt sonnés, abasourdis, et convaincus que ce statut de film culte n'est pour une fois pas du tout usurpé." Il a osé ! "Si les situations que traverse John Grant demeurent toutes rationnelles (à ce titre la chasse aux kangourous est la scène la plus immersive et réaliste du film, un panneau final nous indique d'ailleurs une fois le film terminé que ce passage a été tourné lors d'une véritable chasse avec des chasseurs professionnels), une ambiance mystérieuse survole l'oeuvre." Celluloidz "A l'origine, il y a un roman brut et sans concession, Cinq Matins de Trop de Kenneth Cook. Une plongée viscérale dans l'outback australien et une peinture peu reluisante de ses habitants. (...) Ted Kotcheff embrasse le récit de Kenneth Cook à bras le corps et l'illustre à la perfection pour en tirer un film étrange. Wake in Fright, malgré son titre et sa réputation, n'est pas un film d'horreur, ni même une série B, mais une forme de récit initiatique doublée d'une plongée troublante en plein observatoire ethnique. Une approche à la fois hyper réaliste et expressionniste." Film O Sphere "Wake in Fright, film d'angoisse sans autre menace que celle que les hommes font peser, sans autre cadavre que ceux des animaux massacrés par pur plaisir, (...) impressionne réellement parce que son évocation dépasse les contours sociologiques pour constituer un concentré cauchemardesque de la condition humaine." Critikat "Il est évident que Wake in Fright s'inscrit pleinement dans le cinéma du Nouvel Hollywood. (...) Le film sort en 1971, soit au même moment que Walkabout, de Nicholas Roeg, et préfigure quelques-unes des séquences les plus choc de Chiens de Paille, de Sam Peckinpah, sorti la même année. Difficile, aussi, de ne pas songer à Délivrance (1972), de John Boorman. D'ailleurs, tous ces films reposent sur un même système : un ou plusieurs personnages issus d'un environnement exclusivement urbain et d'un milieu social - que l'on qualifiera de "favorisé" - se retrouvent confrontés à un espace isolé partiellement ou totalement épargné par l'industrialisation et la "civilisation" qu'ils ont jusqu'alors connu." Avoir Alire "Ted Kotcheff, jeune hippie canadien, futur réalisateur de Rambo [Ted Kotcheff a réalisé 11 ans plus tard le film Rambo], s'est retrouvé à filmer l'outback, l'arrière-pays australien, ses massacres de kangourous, ses bastons et ses bitures. Un film culte resté quarante ans invisible. Wake in Fright est un choc." Les Inrocks "Adoré par Scorsese et Nick Cave, Wake in Fright est un portrait malade de l'Outback, un sommet de barbarie, un monument d'ozploitation." Pop Corn Magazine |
Synopsis usuel:
John Grant, instituteur d’une école perdue dans le désert australien, décide de regagner Sydney pour les vacances. Mais il fait d’abord escale dans la petite ville minière de Yabba. Le soir, il joue son argent et se soûle. Ce qui devait être l’affaire d’une nuit s’étend sur plusieurs jours… |
Sortie ciné : 21 juillet 1971 |
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