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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Pourquoi j'ai pas mangé mon père):
"Survolté au point de nous faire parfois tombé de son film, Edouard Jamel mène la danse avec un charisme juvénil qui séduira les publics de tous les âges. Le film est truffé de références rigolotes et de messages humanistes." Paris Match "Un petit personnage qui grandit en périphérie, refuse la violence, fait accepter sa différence, se marie hors de sa communauté et finit par s'imposer : tout Jamel Debbouze est dans ce film d'animation qu'il a mis huit ans à tourner - en motion capture et 3D - et où il porte toutes les casquettes. De presque tous les plans, Jamel bouge et parle sans cesse, avec des vannes calibrées pour faire rire, émouvoir et transmettre son message de tolérance à un public familial le plus large possible." Telerama "Le film est une animation, mais les personnages bougent en fonction des mouvements effectués par de vrais acteurs, sur lesquels ont été posés des capteurs de mouvement. C'est le premier film européen réalisé entièrement avec cette technique." Guide Rapide "Pourquoi j'ai pas mangé mon Père est une fable humaniste gentillette en motion capture techniquement maîtrisée. Pour sa première réalisation, Jamel Debbouze n'a pas manqué d'ambition en se lançant dans ce projet façon blockbuster d'animé à la française. (...) Cet animé n'a pas grand-chose à envier aux productions hollywoodiennes (...)." Les Inrocks "Jamel a vu grand et l'animation offre des moments d'une très grande puissance... Quelques courses poursuites épiques, un gigantisme numérique comme on a rarement l'occasion d'en voir en France, des cycles burlesques parfaitement maîtrisés, écrits, dirigés et mis en scène (...)." Avoir Alire "Les intentions du réalisateur sont honorables. Pourquoi j'ai pas mangé mon Père est une ode à la différence, et, dans ce décor préhistorique, Debbouze prône le respect de l'autre : handicapés, banlieusards, étrangers, femmes, Roms ou homosexuels." Le Figaro "Ce qui frappe le plus (...) c'est un discours de l'évolution qui apaise. A l'heure des obsessions médiatiques des cultes, des rassemblements des communautés autour de la foi, Debbouze offre un discours fédérateur de défiance à l'égard de la magie, des pseudo miracles, du détournement du pouvoir ou de sa manipulation des croyances pour parvenir à des desseins pas très catholiques." Avoir Alire "L'acteur-réalisateur n'a pas lésiné sur le rythme ; les vannes fusent et les gags s'enchaînent à toute vitesse. Mais comme le dirait un consultant sportif : « il ne faut pas confondre vitesse et précipitation ». Trop fourre-tout, les velléités vaudevillesques sont progressivement annihilées face aux lourdeurs scénaristiques." Abus de Ciné "La patte Debbouze est partout, impossible de passer à côté. Musique, dialogues, humour, l'acteur a façonné le monde des Simiens. Résultat : un film nerveux qui s'éparpille dans tous les sens. Pas une seconde de répit, entre les cris des singes et la logorrhée de Debbouze. Pauvre oreilles ! " Cinéphilia "Insipide, sans charme et gesticulant : le film d'animation de Jamel Debbouze, adapté du best-seller de Roy Lewis, est mauvais." L'Obs Culture "Tout ça pour ça ! Sept ans de production, huit scénaristes, plus de 30 millions d'euros de budget et, à l'arrivée, ce truc hystérique et insipide." L'Obs Culture "Ce conte préhistorique sous influence Disney (Le Roi Lion, Tarzan) ressemble à un puzzle hystérique et cauchemardesque de saynètes sans queue ni tête." L'Obs Le Plus |
Synopsis usuel:
L’histoire trépidante d’Edouard, fils aîné du roi des simiens (les pré-humains), qui, considéré à sa naissance comme trop malingre, est rejeté par sa tribu. Il grandit loin d’eux, auprès de son ami Ian, et, incroyablement ingénieux, il découvre le feu, la chasse, l’habitat moderne, l’amour et même… l’espoir. Généreux il veut tout partager, révolutionne l’ordre établi, et mène son peuple avec éclat et humour vers la véritable humanité… celle où on ne mange pas son père. |
Sortie ciné : 8 avril 2015 Box office France: 2 411 239 entrées cinéma |
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