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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Good Kill):
"Le film parle surtout de cette guerre contre le terrorisme, de ce droit que s'octroie les états-unis d'assassiner des gens, sans procès." Ciné Séries Mag "Avec sa mise en scène clinique, d'une froideur sépulcrale, Andrew Niccol rend ce spectacle de mort proprement insoutenable. Le voyeurisme désincarné mortifère permanent donne la nausée. Un big brother mondial qui tue aveuglément comme une loterie infernale. En filmant son héros déambulant dans son temple de modernité concentrationnaire comme les drones filment un moyen orient archaïque, Niccol plonge le monde entier dans la paranoïa... Les drones, ces anges exterminateurs invisibles, sont partout... Prêts à lâcher leurs bombes sur le premier suspect qui passe, quelqu'en soient les conséquences pour les civiles alentours... Bon, Niccol n'évite malheureusement pas une certaine naïveté dans sa dénonciation mais Good Kill remue les tripes comme rarement..." Daily Mars - Docteur No "Dans la deuxième partie du film, l'entrée en scène de la CIA (une voix désincarnée au téléphone) annonce l'augmentation des frappes sous l'administration Obama. Les "dommages collatéraux" se multiplient. Andrew Niccol devient plus moral et pose les questions qui fâchent : "Ces frappes ne créent-elles pas plus de terroristes qu'elles n'en tuent ? " "Où commence le crime de guerre ? " Les militaires sont divisés." L'Express "Andrew Niccol, réalisateur de Bienvenue à Gattaca, Lord of War, a écrit, produit et réalisé Good Kill afin de s'assurer une liberté artistique et une indépendance totale. Le film est de fait totalement libre et lui permet de dire tout ce qu'il a à dire, même si ça fait mal. (...) Découvrir un film gonflé comme Good Kill, aujourd'hui, dans une salle de cinéma, est presque devenu mission impossible." Lci Tf1 "(...) entre des dialogues ultra appuyés - qui donnent lieu à de risibles conversations pseudo-philosophiques entre soldats - et une intrigue glissant vers l'abjection lorsqu'elle se risque à absoudre un bourreau (...) par l'assassinat d'un autre bourreau (violeur celui-ci) à 15 000 km de là, Good Kill finit par laisser un sale goût en bouche." Les Inrocks "A aucun moment le réalisateur ne condamne le geste de ce soldat qui, à force d'exercer le droit de vie et de mort à distance, se change en justicier. Le film réquisitoire contre la sale guerre devient, dès lors, un thriller qui crée le malaise et met en rage." Telerama "Good Kill questionne le complexe de Dieu de l'armée américaine et la légitimité de ses actions dans la croisade contre le terrorisme. Le discours manque de discernement et rivalise de bêtise." Avoir Alire "Incapable de profondeur, le film se raccroche à une surenchère attendue. (...) Il y a une superficialité agaçante dans Good Kill, qui, assuré d'emblée de la force de son sujet, finit par s'en remettre presque entièrement à son aspect « scandale » en négligeant tout le reste." Critikat |
Synopsis usuel:
Un pilote de chasse devient pilote de drone, basé à Las Vegas. Combattant à distance les talibans dans la journée, il rentre ensuite chez lui en banlieue retrouver sa famille. Mais l’exécutant va commencer à se poser des questions sur sa mission, et se demander dans quelle mesure il ne contribue pas, en tâchant de les éliminer, à créer les nouveaux terroristes d’une guerre sans fin… |
Sortie ciné : 22 avril 2015 Box office France: 92 088 entrées cinéma |
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