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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l'existence):
"Un Pigeon perché sur une Branche se révèle être un petite perle d'humour noir qui dépeint en une trentaine de scènes les comportements humains entre pathétique et absurde avec un trait lucide, souvent ironique, mais jamais méprisant." Avoir Alire "Avec une philosophie savamment calculée, le film traite en toile de fond du bonheur comme idéal forcé, insistant au passage sur une société du divertissement, où dire que l'on va mal est toujours suspect et où chacun trouve des excuses dans ses obligations quotidiennes pour ne pas aborder ce genre de sujet. Se focalisant ainsi sur le manque de communication et le déficit d'écoute entre les hommes, mais aussi sur l'indifférence à la souffrance d'autrui, le scénario fustige aussi le manque d'argent comme unique moteur ou régulateur, mais aussi la prise de plaisir aux dépends des autres. Un film envoûtant, picturalement fascinant et philosophiquement troublant." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "Pour ceux qui ne connaissent pas le réalisateur, ce jeune homme de 72 ans est un des génies du cinéma absurde contemporain. Son style, reconnaissable et maintes fois copié sans jamais être égalé, est un mélange de burlesque et de situations absurdes grisâtres filmées en plan large et fixe sans aucune coupe de montage." Le Blog du Cinéma "S'il se pique de se pencher sur l'espèce humaine, le film célèbre en fait la toute-puissance du cadre cinématographique, favorisée par la relative indépendance d'Andersson qui possède entre autres ses propres studios. En effet, la moindre scène, le moindre décor, le moindre déplacement de personnage est étudié pour que la caméra fixe, point de vue unique, inamovible et omniscient, saisisse absolument tout, du premier plan à l'arrière-plan (d'où certains décors où même les encadrements de portes sont alignés pour libérer la profondeur de champ), ne laissant que quelques miettes à la possibilité d'un hors-champ qu'elle anticipe déjà. Cloisonnées dans ce cadre rigide et émanant d'une évidente volonté de démiurge, les scènes se déploient l'une après l'autre tels des fragments d'un petit théâtre de l'absurdité existentielle." Critikat - Benoît Smith "Si Roy Andersson est pessimiste, il sait être chaleureux. La fantaisie illumine ce cinéma indompté, qui n'hésite pas à nous bousculer en télescopant les époques, à nous imposer un rythme contemplatif et exigeant." Telerama "Les plans fixes ensorcelants s'enchainent à la folie, comme une succession de tableaux vivants où une humanité blafarde, comme zombifiée, se démène mollement dans cette torture mentale qu'est la vie, bordel ! Pas d'intrigue... (...) Roy Anderson déstabilise comme personne avec son univers burlesque et mortifère qui transcende l'esthétique publicitaire horriblement formatée qu'il pratique professionnellement (bonjour le schizo ! ! ! ). On est comme dans un enfer gris, blafard." Daily Mars - Docteur No "Le réalisateur poursuit son épinglage en règle de la médiocrité et des misères de ses contemporains. Ce petit théâtre grinçant et sardonique, triste mécanique peuplée de pantins blafards, repeint le monde sous des teintes glauques et ne retient de la nature humaine que ses aspects les plus mesquins." Le Monde "Que voit-on ? Un gloubi-boulga de saynètes tournées en plan fixe. (...) Roy Andersson n'écrit pas de scénario. Il conçoit chacun de ses petits sketches morbides et sinistres comme des tableaux, des vignettes, des cartoons sinistres. (...) c'est non seulement laid moralement (les humains de Roy sont tous affreux, dépressifs et pitoyables), mais aussi physiquement. Le monde n'est qu'une zone industrielle abandonnée. La mort nous attend (comme si on ne le savait pas). (...) Le cinéma de Roy Andersson est un cinéma sans âme, où les personnages ne sont que des marionnettes agitées par un misanthrope psychorigide." Les Inrocks - Jean-Baptiste Morain |
Synopsis usuel:
Sam et Jonathan, deux marchands ambulants de farces et attrapes, nous entraînent dans une promenade kaléidoscopique à travers la destinée humaine. C’est un voyage qui révèle l’humour et la tragédie cachés en nous, la grandeur de la vie, ainsi que l’extrême fragilité de l’humanité… |
Sortie ciné : 29 avril 2015 Box office France: 37 385 entrées cinéma |
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