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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd La Duchesse de Varsovie):
"Dire l'horreur irreprésentable avec la palette du marchand de couleurs et la légèreté d'une comédie musicale : c'est le pari impossible que Morder réussit à tenir dans ce film inclassable, grave et jubilatoire, en prenant des risques esthétiques insensés et en s'appuyant sur un formidable duo d'acteurs." Avoir Alire "Les couleurs vives se marient bien avec le malheur. Parce qu'il est pudique et qu'elles le mettent en valeur. C'est manifestement le choix très heureux qu'a fait le malicieux et cinéphile Joseph Morder en choisissant de placer ses deux personnages dans des décors dessinés (...). Le parti pris esthétique de Morder est une réussite. Il parvient, à partir de la noirceur, à fabriquer du romanesque, qui aide à vivre ou survivre à la douleur, à l'insupportable et à l'inoubliable, et surtout du lien entre deux êtres qui s'aiment mais ne s'étaient jamais parlé avec sérieux." Les Inrocks "Malgré sa proposition formelle inégale (tous les décors sont dessinés à gros trait) et un scénario parfois démonstratif dans la mise en place de ses protagonistes, ce film sur la transmission transcende peu à peu ces handicaps pour s'achever sur une scène sobre et puissante, porteuse d'une poignante émotion mémorielle." L'Express "On distingue le principe, on le trouve tout à fait louable et porteur d'une promesse de beauté. Pourquoi, alors, ne se trouve-t-on pas véritablement touché par sa mise en œuvre ? Il apparaît que les intentions, ou plutôt le soin du cinéaste à concrétiser ses intentions, tendent à étouffer la sincérité qui pourrait faire vibrer le résultat. Il y a chez Morder un amour évident du cinéma, de son pouvoir de raconter des histoires (vraies ou non) avec des artifices (empreints ou non d'authenticité) ; mais ici, il exprime cet amour avec une application qui se manifeste au détriment de la vérité de ce qu'il raconte, de l'émotion sincère et forte que son histoire devrait susciter." Critikat "Entièrement tourné en toiles peintes par Joseph Morder. (...) Alexandra Stewart et Andy Gillet sont mal à l'aise dans ce film original, mais figé." Telerama |
Synopsis usuel:
Valentin est un jeune peintre qui vit dans le monde imaginaire de ses tableaux. Lorsqu’il retrouve sa grand-mère Nina, une émigrée juive polonaise dont il se sent très proche, il lui confie son manque d’inspiration et sa solitude. Au fil de ces quelques jours passés ensemble dans un Paris rêvé, Valentin exprime de plus en plus le besoin de connaître le passé que Nina a toujours cherché à dissimuler. |
Sortie ciné : 25 février 2015 |
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