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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Hyena):
"Vous l'aimez comment, votre polar ? Noir, serré et sans sucre, comme votre café du matin ? Que ce soit le cas ou pas, Hyena procure le même effet secondaire, diabolique au demeurant. Celui d'investir un univers nihiliste en diable, où flics corrompus et truands sadiques se rongent les os, tous pourris jusqu'à la moelle." Abus de Ciné "Crasseux et nauséeux, Hyena est le dernier choc d'un genre urbain dégénéré. Un coup de maître." Avoir Alire "Avec ses fulgurances gore et sa mise en scène à la fois épurée et clinquante, Hyena plonge dans les tréfonds du film noir et dans un Londres underground proprement terrifiant." Daily Mars - Docteur No "Energique, implacable, Hyena est un thriller très réussi, mais il a mauvaise haleine ! Normal, quand on plonge son museau dans une charogne bien vivante. (...) Le spectateur a le sentiment de s'enfoncer dans un Londres transformé, par la criminalité et la corruption, en une carcasse rongée par des vermines." Paris Match "Stylisé et tourné caméra à l'épaule au plus proche de la « merde » dans laquelle patauge son anti-héros notoire pris dans un maelstrom cauchemardesque où tout son univers à l'équilibre précaire se délite sous ses pieds, ce petit uppercut made in England vient réveiller un genre en quête d'un nouveau souffle." Mondociné "Loin des thrillers trop consensuels (...) Hyena montre une police désarçonnée prise entre des agents drogués ou alcooliques et évitant d'affronter les zones trop risquées. Le réalisateur s'est ainsi documenté sur la police actuelle et la création de son personnage principal découle d'une rencontre en 2006 entre un policier anachronique et lui. Son approche quasi-médicale du trafic d'êtres humains (prostitutions) est traitée de manière directe sans adoucir les traits (...). Comme dans la trilogie Pusher de Nicolas Winding Refn, le réalisateur a également soigné la lumière de son film et sa manière de présenter son histoire." Mulderville "On est frappé par l'esthétique du film Hyena, dès la première scène, où la brutalité des faits est fascinante, dans une boite de nuit, illuminée par des spots d'une bleutée envoûtante, le tout sous la musique hypnotique de Matt Johnson. On comprend mieux l'engouement de Nicolas Winfing Refn pour ce thriller, tant cela ressemble à son cinéma." Ciné Séries Mag "C'est fascinant comme peut l'être le spectacle de la corruption de l'ordre établi, mais ce n'est pas très neuf ni ne creuse très loin (...). (...) le film fonctionne sur quelques grossières facilités, se basant notamment sur une hiérarchie des crimes et délits pour caractériser et même appuyer une hiérarchie des sympathies envers les criminels. Des flics britanniques en bande qui dealent, rackettent et tabassent paraîtront évidemment, surtout si à côté ils se comportent en ados immatures (notamment dans des scènes de défonce appelant une certaine complaisance), sous un jour plus sympathique que des truands étrangers qui prostituent, tuent au couteau de cuisine et coupent en morceaux en arborant, comme il se doit, des têtes à faire peur." Critikat - Benoît Smith "Avouons le aussi, le film ayant beau être racé, carré et très efficace, il n'en demeure pas moins sans véritable surprise." Film de Culte "Hyena est un film qui manque cruellement de rythme, de cinéma, et se retrouve plombé par une fin inutilement frustrante." Film O Sphere "Le réalisateur ne sait pas faire un plan, alors il fait bouger la caméra pour faire croire que le film est nerveux." Les Inrocks |
Synopsis usuel:
Michael Logan est un mélange complexe d’alcoolique occasionnel et d’officier de police corrompu. Mais l’univers sinistre dans lequel il évolue est en pleine mutation. L’arrivée en masse de gangsters sans pitié venus d’Albanie menace de bouleverser le paysage criminel londonien. Jusqu’ici son instinct lui avait toujours donné une longueur d’avance, mais son comportement de plus en plus autodestructeur et la brutalité des nouveaux chefs de gangs vont le plonger dans une spirale de peurs et de doutes. |
Sortie ciné : 6 mai 2015 |
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