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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Scum):
"Classique britannique sur la détention des délinquants dans les notoires "borstals", centres de redressement répressifs mis en place au début du 20ème siècle, le film d'Alan Clarke est une puissante réflexion sur le pouvoir qui ne pourra laisser personne indifférent." Avoir Alire "Les "bortsal" sont des centres de détention pour mineur dont les conditions de survie furent mise au grand jour par ce film. Le scandale de ces images fut tel que la BBC refusa la diffusion et que le choc contribua à faire abolir ces prisons en 1982. Un film engagé donc, mais avec intelligence." Plan C "A la machine à encadrer et à écraser dont il décrit sans ciller les rouages, Scum oppose les trois réponses possibles, les trois révoltes, sous les traits de ses héros enfermés. Archer, le bouffon, répond par l'humour, la procédure légale, cherchant à faire péter la loi depuis l'intérieur par le paradoxe : c'est la sphère du droit. Toyne et Davis répondent par le suicide, cherchant le dehors, la seule sortie. Et Carlin, “the daddy”, répond par l'action violente et organisée, par la politique, le rapport de force avec la machine (...)." Les Inrocks - Luc Chessel "Scum est le chef-d'oeuvre maudit d'Alan Clarke. (...) Interdit, oublié, puis retrouvé et fêté, ce film maudit et légendaire aura tout connu. (...) Trente-cinq ans après sa sortie, Scum rejoint le chemin des classiques (...). C'est à la BBC que tout a commencé. En 1977, la chaîne retire de sa programmation un téléfilm qui montre la violence à laquelle sont soumis les jeunes détenus des maisons de redressement britanniques, traités comme des chiens, des moins que rien - en anglais, « like scum ». Pour contrer la censure, le réalisateur Alan Clarke trouve une parade radicale : il tourne son film une deuxième fois." Telerama "Logiquement censuré sous le règne de Margaret Tatcher, Scum est une de ces oeuvres rares sur la jeunesse, ultra-radicale sur le fond comme sur la forme, qui enterre à peu près tout ce qui a été fait ensuite sur ce genre d'établissement et qui se pose presque en égale d'Orange Mécanique. Une claque monumentale comme on n'en prend que très peu souvent." Film O Sphere "Longtemps ignoré des radars critiques français, le cinéaste anglais Alan Clarke a filmé la face la plus sombre de son pays. Trente ans après, il est temps de réévaluer l'apport d'un génie singulier qui a inspiré, entre autres, Gus Van Sant." Les Inrocks "La longue ignorance dont Alan Clarke a fait l'objet de ce côté-ci de la Manche s'explique, certainement, par le fait que sa filmographie consiste quasi-exclusivement en des réalisations télévisuelles." Dvd Classik "Alan Clarke apparaît aujourd'hui comme un des cinéastes majeurs de l'Angleterre de la fin des années 1970 et des années 1980. Pourtant, il aura fallu attendre 2003 pour que la France le remarque : alors qu'Elephant remporte la Palme d'or, on découvre que le film de Gus Van Sant est un remake d'un moyen métrage d'Alan Clarke diffusé en 1989 sur la BBC (une succession glaçante de dix-huit meurtres de sang-froid et sans dialogue). Si le Britannique a presque exclusivement travaillé à la télévision, son oeuvre est d'une radicalité et d'une exigence rares." Critikat |
Synopsis usuel:
Lorsqu’il arrive dans un nouveau centre de redressement, Carlin est précédé d’une réputation de dur à cuire. Alors qu’il cherche l’isolement et la tranquillité, ses camarades de détention ne cessent de le provoquer… |
Sortie ciné : 19 mars 1980 |
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