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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Pour qui sonne le glas):
"Attention, grand classique du cinéma ! (...) Pour qui sonne le Glas aborde les thématiques de la mort, de la vie, du sacrifice et de la camaraderie au nom d'un combat contre le mal absolu : le fascisme. Immense film, tout simplement ! " Naveton Cinéma "Gary Cooper livre une belle prestation, avec son immense présence naturelle. Ingrid Bergman, engagée in extremis pour ce rôle qui la faisait fantasmer, est exaltée par son personnage. Le succès populaire fut immense." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "Gary Cooper et Ingrid Bergman vampirisent (façon de parler...) totalement l'écran. C'est indéniablement le couple vedette du film. Toutefois, Sam Wood a le mérite de se concentrer sur d'autres personnages secondaires hauts en couleurs. Par exemple, comment ne pas citer Pilar, une vieille femme courageuse, incarnée par Katina Paxinou ? D'ailleurs, l'interprète recevra l'oscar de la meilleure actrice pour un second rôle." Naveton Cinéma "Le thème de la camaraderie accompagne la perspective de la mort, sacrifice des personnages pour une juste cause. Robert Jordan, Anselmo et les autres sont prêts à le faire, comme « tout homme de bien le ferait », avec des accolades fréquentes qui renforcent l'impression d'un compagnonnage intense. (...) Cet amour des uns pour les autres se porte aussi à la terre d'Espagne, dès le début jusqu'à la fin." Mémoires de Guerre "Pour qui sonne le Glas est l'adaptation d'un grand roman d'Hemingway, magnifique sur le plan esthétique, mais bien trop académique dans sa réalisation." Avoir Alire "Heminghway mêlait dans son livre grande romance, réflexion sur la foi en une cause, esprit de camaraderie le tout surplombé par l'ombre de la mort, du destin inéluctable et de l'esprit de sacrifice. Tout ça se retrouve dans le film mais dans une tonalité tellement simplifiée et niaise que l'ennui et l'agacement se font rapidement sentir." Chroniques du Cinéphile Stakhanoviste "Il est assez paradoxal que l'adaptation du roman d'Ernest Hemingway ait été confiée à un réalisateur ardamment anticommuniste. En conséquence, tout le contexte politique est ici gommé, on ne sait qu'à peine de quelle guerre il s'agit. En revanche, tout le film est centré sur l'idylle entre Jordan et Maria qui s'étale sur de très longues scènes et d'interminables (très) gros plans ; certains sont superbes, certes, mais l'ensemble paraît assez répétitif avec des dialogues lourds et mal adaptés. (...) Pour qui sonne le Glas est un bel exemple de cette capacité qu'a Hollywood de pouvoir décérébrer un grand roman pour en faire une banale romance." L'Oeil sur l'Ecran - Lui "La sécheresse de l'écriture d'Hemingway, réputée “cinématographique”, n'a cessé d'être trahie par des adaptations hollywoodiennes au mieux lyriques, au pire ampoulées. C'est particulièrement flagrant ici (...). Reste Ingrid Bergman, frémissante Maria, et les savoureuses compositions de futurs acteurs wellesiens, Katina Paxinou et Akim Tamiroff." Les Inrocks - Serge Chauvin |
Synopsis usuel:
Alors que la guerre civile fait rage en Espagne, Robert, un américain, décide de s’engager aux côtés des républicains dans leur lutte contre les fascistes. Il rejoint ainsi un groupe de résistants mené par Pablo et sa femme Pilar. C’est là qu’il fait la rencontre de la belle Maria… |
Sortie ciné : 20 juin 1947 Box office France: 8 274 596 entrées cinéma 1944 : Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle (Katina Paxinou) |
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