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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Unfriended):
"Unfriended est un slasher. Le réalisateur géorgien reprend tant de codes du genre qu'il ne laisse planer aucun doute quant à ses intentions. Le tueur est omnipotent, omniscient et invincible, les jeunes gens se font massacrer les uns après les autres dans des circonstances de plus en plus barbares et pendant ce temps-là, le public prend son pied. C'est cliché mais ça fonctionne." Abus de Ciné "Unfriended est un film singulier, car pendant toute la durée du film, on ne voit que ce qui se passe sur l'écran d'un seul ordinateur. On se retrouve donc uniquement du point de vue de quelqu'un qui serait derrière son écran et suivrait une vidéo-conférence sur internet." Guide Rapide "Sur un scénario de genre archiprévisible, la surprise vient de la mise en scène. Du début à la fin, on ne verra que l'écran : réseaux sociaux, moteurs de recherche et fenêtres vidéo sont les uniques outils de narration de ce thriller sur le thème du cyberharcèlement." Telerama "Le concept fonctionne vraiment, même si le début est un peu long. Une fois entré dans le délire du film, on ne veut plus en sortir. (...) Ce film nous fait passer par plusieurs émotions, on rit beaucoup, certaines situations sont vraiment amusantes et détendent l'atmosphère car Unfriended possède également de beaux instants de pressions et de suspense (...). Notamment les scènes avec les comptes à rebours, mais nous ne dirons rien de plus pour ne pas vous gâcher ces scènes intenses." Films Horreur "Sur cet écran d'ordinateur, il y a toujours quelque chose à voir (...). Le film, disons-le tout net, est magnifique, et il l'est parce qu'il n'oublie jamais qu'il est un film : des corps, des visages, et des sentiments incarnés, derrière la froideur des flux numériques. (...) Les plus beaux passages d'Unfriended sont ainsi ceux où, rejoignant le cinéma expérimental (notamment la pratique du “datamoshing”), Gabriadze laisse l'image se désagréger au hasard des bugs, doublant l'effroi classique par la monstruosité des images pixelisées. Jamais dans un long métrage le procédé n'avait trouvé aussi pertinente application." Les Inrocks "Les fenêtres s'accumulent de partout, les vidéos pixélisées et saccadées aussi. Et, miracle, Unfriended parvient à tenir son concept hautement casse gueule et à balancer quelques scènes bien crado entre deux piques ironiques vis à vis de cette génération zombifiée incapable de quitter son écran ne serait-ce qu'une seconde, grâce à un montage impressionnant (à base de plans séquences) qui frise l'expérimental pop/glauque/snuff par moments. Tout le monde se retourne contre tout le monde. (...) Unfriended ne révolutionne absolument rien mais s'avère d'une efficacité redoutable." Daily Mars - Docteur No "On ne peut pas nier à Unfriended sa réussite en matière de tension, cette dernière allant crescendo du début à la fin du métrage. Malheureusement, il n'est pas aussi effrayant que l'on aurait pu l'espérer. À noter cependant quelques moments anxiogènes via des scènes doucement gores et souvent percutantes qui viennent vous chatouiller au moment où vous pensiez pouvoir piquer un petit somme." Terreur Vision "L'idée d'Unfriended part d'un bon principe. Celui de dénoncer les abus réels dont sont victimes quotidiennement des milliers de collégiens et de lycéens. (...). Internet permet un certain anonymat qui pousse les gens à se lâcher totalement et à dire des choses qu'ils n'auraient pas le courage de dire en face, sans se soucier des conséquences dramatiques que cela peut parfois avoir." Xav-B.log "Si l'histoire de Laura Barns est centrale dans le film, elle n'est qu'un prétexte à une intrigue foireuse (...). Il n'y a rien sur l'importance de reconnaître le cyber-harcèlement (...). Rien sur le parcours de Laura entre la diffusion de la vidéo et le moment de son suicide. Rien (ou presque) sur la personne qui a posté la vidéo ou ses raisons de le faire. Ce qui sauve Unfriended, c'est une absence de jugement sur le rapport des jeunes à Internet : si le film (ou au moins sa traduction française) n'a clairement pas été réalisé par des vingtenaires ou du moins des internautes confirmés (faute aux mauvais raccords et au langage texto parfois insupportable à lire et bien ridicule), il n'est jamais question de caricature d'une soi-disant addiction aux nouvelles technologies qui déplacerait le débat." madmoizelle "Cette modeste production surprend par un concept novateur (...). Néanmoins, passé l'effet d'étonnement des premières séquences, le dispositif s'épuise et provoque la lassitude. L'écran, composé de segments vidéos et textuels épars, exige une concentration accrue." Au Coeur de l'Horreur "Unfriended sera, pour sûr, liké par les gosses de 15 ans, mais au-delà, le film pourrait bien se faire pas mal de détracteurs tant il ne provoque que l'ennui." Avoir Alire |
Synopsis usuel:
Une jeune lycéenne se suicide après qu’une vidéo compromettante sur elle ait été publiée sur Internet. Un an plus tard, six de ses amis se connectent, un soir, sur skype, pour « tchater » entre eux. Mais une septième personne, inconnue des autres, se connecte également. Cet intrus se montre très vite sous un visage inquiétant et menace les six amis de tuer le premier qui se déconnectera. Peu à peu, les événements tragiques qui ont marqué la bande, un an plus tôt, refont surface et se montrent sous un nouveau jour. |
Sortie ciné : 24 juin 2015 Box office France: 283 117 entrées cinéma |
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