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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray La Maison près du cimetière):
"Si vous êtes un amateur de l'horreur gothique ou Lovecraftienne, et que le gore ne vous rebute pas, vous prendrez plaisir à visionner cette Maison près du Cimetière, un des tous derniers bons films de Fulci avant de partir en vrille. Efficace mélange de frissons et d'effets dégueulasses à souhaits, ce film est une variation très originale sur le thème de la maison hantée." Scifi Universe - Nicolas L. "La Maison près du Cimetière n'est pas loin d'être l'un des tous meilleurs films de son auteur, dans ce sens qu'au niveau narratif, c'est le plus ténu avec L'Emmurée Vivante, et qu'au niveau rythmique, c'est sans aucun doute celui qui possède le moins de lacunes avec Le Temps du Massacre. Le rythme ne se dément jamais et va même crescendo, et dans le domaine de la terreur, le réalisateur y excelle comme jamais." Psycho Vision "On s'attendait à beaucoup de choses de la part de Fulci mais il nous a, une fois de plus, bien surpris ! Peut-on imaginer un de ses films de zombies sans (trop de) sang ? Eh bien, incroyable, Fulci l'a fait ! Bien sûr, il n'a pas pu se passer de placer certaines scènes qui en écoeureront plus d'un, mais d'une manière générale, cela reste plutôt gentil comparé à Frayeurs, Zombi 2 ou encore L'Au-Delà. La scène initiale est donc trompeuse car l'hémoglobine y coule à flots. Après cela, apprêtez-vous à entrer dans l'univers Fulci : l'ambiance oppressante devient de suite exceptionnelle et le stress est vite au rendez-vous ! " Cinéma Fantastique - Quentin Meignant "Il y a pas mal de bonnes choses dans La Maison près du Cimetière : le travail du chef-opérateur est à souligner, les bruitages sont remarquables, le personnage de Mae est intriguant, et le jusqu'au-boutisme du film se traduisant par un final assez surprenant, malsain et éprouvant appelle à une seconde vision pour mieux percevoir certains enjeux. Il y a aussi certaines idées assez originales, comme le concept de "photo qui avertit de ne pas venir" (...). Mais à côté de tout cela, il y a beaucoup de choses négatives. Pas mal d'incohérences, de ruptures de ton au niveau musical (on a l'impression que certains morceaux sont interrompus en leur milieu parce que l'on passe à une autre scène), de fausses pistes trop visibles (à force de vouloir rendre tous les personnages potentiellement bizarres ou suspects, plus aucun ne l'est et le procédé n'a plus d'impact). Et aussi un certain ridicule involontaire : la baby-sitter éponge une gigantesque trace de sang dans la cuisine, trace conduisant tout droit à la cave, et ne se pose pas de questions. Cela ne suscite pas non plus le moindre étonnement de la part de la maîtresse de maison. Cette ambiance très "ah oui, Anne, vous me nettoierez aussi ce bout de cervelle contre le mur, vous serez gentille" crée une certaine distanciation par rapport à l'inquiétude que le film devrait susciter à cet instant. Ne parlons pas du gamin jouant le jeune Bob, qui ressemble à un Christophe Lambert jeune avec sa tête d'hydrocéphale. Et le côté gore outrancier, s'il n'est pas forcément une mauvaise chose en soi, tombe ici un peu comme un cheveu dans la soupe : au détour d'une scène, on voit ainsi une chauve-souris attaquer le Dr Boyle (...)." L'Ouvreuse "La scène d'ouverture laissait présager le meilleur avec un dézinguage au couteau dans les règles (...). Cette intro sera malheureusement le seul moment fort du film pendant un bon bout de temps, le réalisateur entrant dans une torpeur seulement ponctuée de quelques soubresauts ici et là - rien de bien méchant - avant le clap de fin. De l'univers des maisons hantées, il ne gardera que les clichés qu'il nous assénera avec une roublardise déconcertante : ces portes qui claquent, ce plancher qui craque, cette profusion de « Jump Scares » super Cheap - Aaahhhh ! ! Ouf, ce n'était que le chat - et bien d'autres du même acabit... On peine à retrouver la patte du réalisateur de Frayeurs. Il y avait pourtant matière et pas des moindres, rien n'y fera, Fulci ne fera qu'effleurer son sujet à la surface sans pouvoir - vouloir ? - aller au fond des choses et proposer une nouveauté quelconque. L'exemple le plus emblématique est peut-être cette scène de « l'attaque de la chauve-souris vénère », que l'auteur étire sans fin à grand renforts de gros plans, de giclées d'hémoglobine et de cris de détresse mais qui ne fait pas illusion : c'est une scène ridicule et purement gratuite destinée à combler le vide qui se dégage du film." Strange Movies "(...) le gros problème du film est probablement son manque de rythme, carence assez récurrente chez Fulci. Et pourtant. Et pourtant, malgré tous ces défauts, La Maison près du Cimetière reste un bon film, agréable et dont le manque de concession et le refus de happy end font du bien en ces temps de Hollywoodisme galopant." L'Ouvreuse |
Synopsis usuel:
C'est seulement quand ils sont installés dans leur nouvelle maison de la Nouvelle-Orléans que Norman, sa femme Lucy et leur jeune garçon Bob apprennent qu'elle a abrité un certain docteur Freudstein, qui s'y livrait à d'horribles expériences. Les gens du pays en ont fait la maison maudite. Bob affirme qu'il voit et rencontre une petite fille May, invisible pour les autres. Lucy fait la découverte d'un cercueil sous un plancher. |
Sortie ciné : 24 mars 1982 |
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