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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Mon Roi):
"Emmanuelle Bercot, très justement récompensée du prix d'interprétation féminine cannois, passe du bonheur au mal-être avec une facilité déconcertante. Ses crises envers Georgio sont saisissantes et sidérantes de réalisme. Face à elle, Vincent Cassel crève l'écran dans ce qui est certainement son meilleur rôle au cinéma." Abus de Ciné - Alexandre Romanazzi "La présence solaire de Vincent Cassel irradie le film." L'Express "Avec une délicatesse et justesse qui rendent les personnages attachants et l'histoire d'amour tout à fait crédible, Maïwenn nous entraîne dans un torrent d'émotions." My Screens "Ce film est une tempête. Un précipité amoureux. Chaque scène, comique ou tragique, est saisissante." Telerama - Guillemette Odicino "Energique jusqu'à l'hystérie, dialogué avec brio, cette comédie dramatique écrite avec une profondeur charnelle donne un bon coup de fouet au cinéma français." Paris Match "Maïwenn a la capacité de mettre les acteurs en confiance. Elle les laisse très libres. Pour Mon Roi, elle a comme a son habitude laissé beaucoup de place à l'improvisation, mais attention « une improvisation dirigée » comme le rappelle Vincent Cassel. Il suffit de voir une interview de la réalisatrice et de s'intéresser quelque peu à son vécu hors du commun pour comprendre que ses histoires sont plus que toutes autres marquées de son empreinte, de ses douleurs et de sa force créatrice." Au Feminin "Maïwenn a un talent qui éclipse tout, un coup de main qui agit comme une redoutable colonne de défense camouflant les déficiences de ses films : elle sait fabriquer de la scène, essorer ses acteurs dans des numéros de jeu extrêmement intenses et créer, à l'épuisement, l'illusion du réel par l'entremise d'un simple goût pour la gueulante." Les Inrocks "On a vu les critiques reprocher à Maïwenn de sombrer sans cesse dans une forme d'excès, d'hystérie, en pointant du doigt qu'on gueule beaucoup dans Mon Roi. C'est pas faux, mais c'est pas vrai non plus. Maïwenn, ici, ne se contente pas de simplement raconter une histoire d'amour qui tourne en eau de boudin. Non, la cinéaste ici parle bien de violence psychologique, de manipulation et d'emprise. Elle parle de rapports de domination. De l'irrationalité de l'amour et des extrémités auxquelles la passion peut conduire. Et ce dans n'importe quel milieu social. Pas besoin d'être pauvre, les connards aussi existent chez les bourgeois." Le Blog du Cinéma "Maïwenn a divisé le public cannois avec Mon Roi (...). Les uns applaudissent un film bouleversant sur les travers de l'amour, les autres parlent d'un naufrage. Nous, on n'y voit que de la sincérité." Gala "Maïwenn filme la rencontre explosive entre un ogre et une princesse, un hédoniste et une fille rangée. Un cocktail haut en couleur malheureusement lesté par un scénario et une réalisation trop convenus." Avoir Alire "Il faut, hélas, constater la pauvreté de la mise en scène qui transforme Mon Roi en une véritable scie dramaturgique, consistant à empiler, en plans serrés et champs-contre-champs, deux heures durant, les moments de pétage de plomb et de rabibochage sexuel. (...) C'est donc, encore une fois, l'approche épidermique de ce cinéma, son hystérisation permanente, et à la longue fatigante, des rapports humains, sa façon d'imputer à tous les moments de bonheur un indice de perversion sadique ou victimaire, qui finit par nuire à un traitement inspiré du sujet." Le Monde "On ressort concassé de ce déluge de crises et de cet infantilisme généralisé qui gouverne chaque action des personnages. Le prosaïsme des situations, la faiblesse insigne de la narration évoquent une espèce de sitcom boursouflée et littéralement insupportable." L'Obs - Le Plus "Polisse, il y a quatre ans, donnait déjà l'impression d'un amas informe : trois épisodes d'une mauvaise série télé, mis bout à bout. Mon Roi est pire, puisque la réalisatrice prétend y détailler la passion destructrice d'une jeune femme (insupportable) pour un bad boy sexy et bas de plafond. Seul le style peut transcender un sujet si souvent traité, et par les plus grands (Visconti, Ophuls, Truffaut). Mais le style est précisément ce que Maïwenn n'a pas." Telerama - Pierre Murat |
Synopsis usuel:
Suite à une grave chute de ski, Tony est admise dans un centre de rééducation afin de retrouver la motricité de son genou. Rythmé par les soins et la rencontre avec une bande, son séjour est l’occasion de se remémorer son passé : elle revit les grandes lignes de sa relation amoureuse avec Georgio qu’elle a aimé avec passion. |
Sortie ciné : 21 octobre 2015 Box office France: 745 483 entrées cinéma Festival de Cannes 2015 : Prix d'interprétation féminine (Emmanuelle Bercot). |
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