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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Taj Mahal):
"Taj Mahal [raconte] l'attaque terroriste du grand hôtel de Bombay, en 2008, vue par une jeune Occidentale piégée dans sa chambre. (...) Nicolas Saada nous montre précisément ce que ne peuvent pas filmer les infos télé : il colle à un seul personnage et nous dévoile toute la gamme de réactions émotionnelles d'une victime en train de traverser l'oeil du cyclone." Les Inrocks "Ce presque huis clos de Nicolas Saada, mis en scène au millimètre en amateur éclairé de Hitchcock, possède une double résonance : le film d'angoisse, façon Panic Room, est très réussi - c'est rare dans le cinéma français. S'y ajoute un regard perçant sur la psyché d'une jeune femme qui a rêvé de quitter l'enfance et désire tout à coup fortement y retourner." Telerama - Aurélien Ferenczi "Les nombreux niveaux de lecture font de Taj Mahal un film puissant et émouvant, nous brossant le portrait d'une jeune fille et de sa famille dont les vies seront bouleversées de bien des façons par cet attentat. Louise perdra son innocence, deviendra brutalement adulte et son regard sur le monde sera évidemment affecté de manière définitive." Le Blog du Cinéma "La longue exposition censée nous faire rentrer dans l'histoire et nous faire ressentir de l'attachement pour ces personnages, ne remplit pas ses objectifs et nous laisse peu à peu dans la marge, rendant toute empathie difficile. Si bien que, quand l'intrigue commence vraiment, quand les terroristes attaquent l'hôtel, on ne s'attend plus à rien. Pourtant, c'est là que le film révèle ses plus grandes qualités." Avoir Alire "Saada affronte l'horreur en creux, par la bande, par le hors champ. (...) Accrochée à son portable, Louise attend. Une attente insoutenable... Pour un peu tout le monde malheureusement ! C'est que Saada se perd dans les méandres de l'ennui avec ce qui aurait dû être le coeur de Taj Mahal. La faute à un personnage gentiment caricatural (...) et beaucoup trop grand pour les frêles épaules de son interprète, la casserole éthérée Stacy Martin. Toute en minauderies et en regards vides, la pauvre s'avère incapable de restituer la terreur qu'elle devrait ressentir (et que dire de l'insupportable père éploré, Louis-Do de Lencquesaing, systématiquement à côté de la plaque)... Tout comme un Saada beaucoup trop distant dans sa mise en scène. Heureusement, l'errance langoureuse de Louise dans ce pays étrange et fascinant (coucou Lost in Translation) et le final parisien, émouvant et mélancolique, et surtout involontairement prophétique, sauvent Taj Mahal de la branchouillerie apprêtée parisienne." Daily Mars - Docteur No "Dans ce navet de luxe (...), rien ne nous sera épargné, des dialogues calamiteux (les réactions des parents sont juste à pleurer...) aux clichés les plus ridicules (le gentil indien qui offre des chaussures ...), en passant par la musique aux violons appuyés qui tente désespérément d'insuffler une tension, ou les montagnes de mauvaises idées scénaristiques (...)." Abus de Ciné - Olivier Bachelard |
Synopsis usuel:
Louise a dix-huit ans lorsque son père doit partir à Bombay pour son travail. En attendant d’emménager dans une maison, la famille est d’abord logée dans une suite du Taj Mahal Palace. Un soir, pendant que ses parents dînent en ville, Louise, restée seule dans sa chambre, entend des bruits étranges dans les couloirs de l’hôtel. Elle comprend au bout de quelques minutes qu’il s’agit d’une attaque terroriste. Unique lien avec l’extérieur, son téléphone lui permet de rester en contact avec son père qui tente désespérément de la rejoindre dans la ville plongée dans le chaos. |
Sortie ciné : 2 décembre 2015 Box office France: 30 174 entrées cinéma |
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