|
|
|
vod
dvd blu-ray
|
|
Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Lolo):
"On retrouve dans le sixième film de Julie Delpy en tant que réalisatrice ce qui fait à la fois le sel de ses comédies, sa signature, son succès auprès de son public : un ton farfelu qui pousse le récit dans des voies secondaires drôles et délirantes, un regard aigu sur la société française (le snobisme), un humour sexuel très cru (ici surtout entre femmes), une direction d'acteurs qui semble aussi implacable, précise sur le rythme, que foutraque : jamais on n'avait vu Dany Boon aussi à l'aise sur un écran, filmé avec autant d'attention, sans doute un peu secoué dans ses habitudes de star..." Les Inrocks - Jean-Baptiste Morain "L'insolente Julie Delpy fait tourner en bourrique la star populaire française Dany Boon, à moins que cela soit son cynique de fils à l'écran, joué par l'infernal Vincent Lacoste. (...) Dans cette farce sur la famille recomposée, accessible à tous, Julie Delpy vise un public plus large qu'auparavant, au-delà de la présence de Dany Boon, de par des situations de comédie à rebondissements rocambolesques qui vont multiplier les fous rires." Avoir Alire "On salue Dany Boon dans un rôle à semi-contre-emploi (même si la première scène où on le voit, celle du thon, fait curieusement penser à la baraque à frites « Momo » de Bienvenu chez les Ch'tis) en beauf lover qui ne peut que plaire à tout le monde." Ciné Séries Mag "Sous la casquette de réalisatrice, Julie Delpy passe allègrement les bornes des limites de la comédie romantique en transitant du corsé au vachard, du charmant au saignant. Même un léger manque de rythme au milieu ne suffit pas à gâcher ce drôle d'objet. Fantasque et imprévisible, donc aimable." L'Express "Après Les Beaux Gosses, Vincent Lacoste joue les sales gosses. Et on peut dire qu'il les interprète à merveille, se montrant à la fois collant, malsain, boudeur, hautain... Positionné comme le trouble fête, il compense la naïveté du personnage de Dany Boon et le cynisme de Julie Delpy. Malgré certaines scènes un rien trop écrites et qui sonnent fausses, comme lors des échanges entre Violette et sa meilleure amie, le film nous sert tout de même quelques dialogues percutants (« Qu'est-ce que t'es névrosée, même quand tu t'en prends plein la chatte ! »...)." Abus de Ciné - Olivier Bachelard "La vulgarité forcée des conversations entre femmes sur le sexe est une fausse originalité, tant le calamiteux et populaire Sous les jupes des Filles établissait l'an dernier un nouveau standard de « beaufitude » au féminin. La bonne surprise vient des deux acteurs choisis et dirigés par Julie Delpy." Telerama "Lolo est une comédie moderne, une comédie qui ose le franc-parler. De nos jours, il est rare de voir une comédie grand public et qui vise un public de 7 à 107 ans et qui parle ouvertement dès ses premières lignes de dialogues de sexualité en utilisant des termes [comme] chatte, clitoris,..." Cinécinéphile "Après un début placé sous le signe de la vulgarité, où les histoires de « chattes » sont à l'honneur, le film dévoile sa mécanique (...), Lolo ne réserve malheureusement que peu de surprises et le récit s'enlise et s'étire inexorablement alors que les rires s'espacent pour disparaître, au milieu d'un scénario quelconque et d'une mise en scène anorexique. Triste..." CinéDingue "Le problème du film c'est qu'on ne croit pas un seul instant ni aux personnages ni aux situations, tout est trop gros, trop gras (...). On n'a même pas sourit." Le Blog du Cinéma |
Synopsis usuel:
En thalasso à Biarritz avec sa meilleure amie, Violette, quadra parisienne travaillant dans la mode, rencontre Jean-René, un modeste informaticien fraîchement divorcé. Après des années de solitude, elle se laisse séduire. Il la rejoint à Paris, tentant de s’adapter au microcosme parisien dans lequel elle évolue. Mais c’est sans compter sur la présence de Lolo, le fils chéri de Violette, prêt à tout pour détruire le couple naissant et conserver sa place de favori. |
Sortie ciné : 28 octobre 2015 Box office France: 906 840 entrées cinéma |
|
|