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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Tire encore si tu peux):
"Tire encore si tu peux est un film hallucinant de maîtrise, d'une violence et d'une audace rare. Un chef-d'oeuvre baroque et cauchemardesque sur la nature humaine." Avoir Alire "Tomas Milian, véritable icône du genre, confère son charisme au personnage principal qui tente de survivre dans cet univers particulièrement hostile." Naveton Cinéma "Tire encore si tu peux est un western qui traîne une réputation d'oeuvre violente et putride. Disons le tout net, il n'en est rien, ou si peu. Si j'osais, je dirais que bien que moins gore, Django de Corbucci le surpasse en matière d'ambiance sale. A mon sens, là où Tire encore si tu peux gagne des galons, c'est en développant tout un axe fantastique, voire une certaine idée du gothique. Cimetière profané, femme séquestrée, incendie final et bien sûr le personnage principal, qui erre, fantomatique, dans une sorte de villle-purgatoire, devant ici et là venir en aide comme pour sauver son âme." Psychovision "Ce western de Giulo Questi est certainement l'un des plus bizarres du genre, avec le Matalo de Cesare Canevari." Sueurs Froides "Avec sa torpeur funeste, ses mystères opaques et ses très violents soubresauts, bref avec son surréalisme, Tire encore si tu peux n'a finalement pas grand chose d'un film d'exploitation classique. Giulio Questi travestit le western, genre alors à la mode, pour désarçonner ses spectateurs à travers de multiples aspects que l'on ne saurait réduire aux scènes gores. Ce qui est sûr, c'est qu'il y exprime une vision très noire de l'humanité, évoquant notamment ses souvenirs de guerre." Tortillapolis "Giulio Questi s'engouffre avec ce western dans la violence extrême. (...) Cette outrance dans la violence agrémentée de fantaisies comme une bande de chemises noires à forte tendance homosexuelle, me navre profondément. Giulio Questi indique que dans ce film il a voulu retranscrire les atrocités de la seconde guerre mondiale. Certes mais alors autant faire un film de guerre. La violence de la seconde guerre mondiale avec ses idéologies fascistes et nazies, n'a rien à voir avec le western. Giulio Questi se fourvoie et nous inflige un assez mauvais spectacle. (..) Que dire aussi d'avoir nommé son héros mexicain Django lorsqu'on sait que c'est le titre d'un film de Sergio Corbucci qui l'année précédente eût un succès retentissant... c'est limite la honte ! " Rue du Ciné "Critique de Critikat à propos du film Django : Le succès du personnage [Django] a conduit les producteurs de pratiquement tous les westerns de l'époque, avec ou sans Franco Nero, voire avec ou sans Django, à inclure son nom dans le titre. Voir par exemple l'excellent et surréaliste Tire encore si tu peux, en 1967 avec Tomas Milian, pesamment titré en anglais « Django kill, if you live, shoot ! »" Critikat |
Synopsis usuel:
Django a participé à un braquage, mais ses complices décident de s'enfuir avec le butin en le laissant pour mort sur le bord de la route. Déterminé à se venger, il parcourt l'Ouest et apprend que des villageois ont tué les voleurs, sans savoir ce qui est advenu de l'or. Des bandits apprennent pour l'argent et ils kidnappent le fils d'un homme qui saurait où l'argent se trouve. Django sauve l'adolescent, mais malheureusement peu après qu'il se soit fait violer... |
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