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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Les Huit salopards):
"Western horrifique porté par un casting à l'aura titanesque et dévoilant ses charmes pendant près de 3 heures, la dernière oeuvre du réalisateur de Pulp Fiction est un huis-clos jubilatoire..." Avoir Alire "La violence est omniprésente dans Les Huit Salopards, elle explose, jaillit, gicle en geysers. On est dans du Grand-Guignol organisé et assumé." Telerama "Tarantino comme à son habitude utilise des litres et des litres d'hémoglobines. Dans ce huis clos, le réalisateur joue avec les nerfs du spectateur en le mettant sur de mauvaises pistes. Avec des dialogues percutants et cinglants, il arrive à faire oublier la longueur du film. Rappelons qu'il dure 2h47. Quentin Tarantino a mis toutes les chances de son côté : d'abord en s'offrant l'incroyable Ennio Morricone, ce qui permet aux ‘Huit Salopards' d'avoir une superbe bande-originale, mais aussi en tournant la totalité du film en 70 mm, ce qui offre une belle qualité d'image. Pour beaucoup de critiques, le film est long, violent, vulgaire... Rappelons que c'est un film de Tarantino, et que le réalisateur n'a jamais été connu pour faire dans le dentelle." Rolling Stones "Comme toujours dans le cinéma de Quentin Tarantino, la bande-son est incroyable. D'abord parce que les compositions originales sont signées Ennio Morricone, l'homme derrière la musique des westerns légendaires de Sergio Leone, Le Bon, la Brute et le Truand ou Il était une fois dans l'Ouest, pour ne citer qu'eux. Ensuite parce que le film est parsemé de morceaux rock et pop, que le cinéaste sait remettre au goût du jour comme personne." Madmoizelle "Tarantino dévoile au compte-goutte les éléments suspects pour nous les faire oublier et mieux nous imposer leur importance au moment opportun. Ainsi un bonbon rouge trouvé par terre dévoile sa réelle importance plus tard dans le film. En ce sens, l'utilisation du 70mm trouve toute sa justification. Outre sa capacité à magnifier les étendues enneigées, ce format permet dans les scènes en intérieur d'instaurer une profondeur de champ, une ampleur de cadre, que la mise en scène prend en compte. On reste convaincu que le film mérite une autre vision pour bien saisir tous les détails dissimulés dans les plans." Le Blog du Cinéma "Cluedo sanglant au milieu de la neige, tour de force aussi bien sur le plan narratif que cinématographique, Les 8 Salopards est un pur régal, généreux en tous points de vue. S'il n'est pas exempt de défauts - les longueurs et redondances sont légion -, il marque cependant le retour de Tarantino à la rigueur qui caractérisait ses premiers succès où la forme était sans concessions au service de la forme." Strange Movies "Près de vingt-cinq ans après son premier film, Tarantino propose une variation sur Reservoir Dogs, catapulté en western." Les Inrocks "Comme un mash-up entre Reservoir Dogs et Django Unchained, Les 8 Salopards est une oeuvre lente et brillante, à laisser infuser, afin que toutes les saveurs qu'elle exhale se muent en un parfum inégalable et envoutant." Les Chroniques de Cliffhanger & Co "Le film n'est pas une fresque mais un huis clos qui emprunte autant à Agatha Christie qu'à Sergio Leone. Toute l'Amérique se retrouve coincée dans une épicerie du Wyoming : hommes, femme, chasseur de primes noir, confédérés racistes, pianiste mexicain et même un bourreau à l'accent anglais. On retrouve le goût de Quentin Tarantino pour les expérimentations narratives - entracte, flashbacks, voix-off qui apparaît et disparaît -, son amour pour les performances d'acteurs et bien sûr son art pour jouer avec les nerfs du spectateur en retardant sans cesse l'explosion de violence, comme dans les meilleurs films d'horreur - Les Huit Salopards cite ouvertement The Thing de John Carpenter. C'est à la fois roublard et jubilatoire, excessif - trois heures tout de même - et unique, surtout dans le contexte hollywoodien actuel." Paris Match - Yannick Vely "Les Huit Salopards sont saoulants à force d'être bavards." L'Express "Tarantino en fait trop. (...) Les deux premiers tiers du film sont bavards au possible et d'un ennui assez plombant. La fin tourne à la tuerie ultra-gore." Le Parisien "Avec Les Huit Salopards, plus Tarantino prend de plaisir, moins il en donne. C'est nouveau. Ces discussions d'avant le carnage n'ont jamais été aussi répétitives, aussi mornes, aussi vides. Le cinéaste s'est beaucoup inspiré, dit-il, de The Thing, thriller hivernal, en huis clos, de John Carpenter (1982), auquel il voue un culte - et dont la vedette était déjà Kurt Russell. Mais ce film-là était une modeste et efficace série B. Celui de Tarantino est un monument de boursouflure, où tout est agrandi et étiré, au-delà du pénible, jusqu'au ratiocinage. Quand survient le bain de sang, cher au réalisateur, c'est, paradoxalement, une délivrance. Mais il épaissit encore les contours de personnages qui n'ont jamais cessé d'être des caricatures. Il fut un temps où Tarantino filmait des êtres humains, vulnérables, complexes, séduisants. A cette époque (1997), Jackie Brown semblait marquer l'entrée tardive de Tarantino dans l'âge adulte. Comme c'est loin." Telerama - Louis Guichard |
Synopsis usuel:
En plein hiver, une diligence fonce à travers la campagne enneigée du Wyoming. A son bord, le chasseur de primes John Ruth, surnommé « le Bourreau », se rend dans la petite ville de Red Rock afin que la femme qu’il a capturée, Daisy Domergue, y soit pendue. En chemin, ils croisent deux étrangers : le commandant Marquis Warren, ancien soldat nordiste reconverti chasseur de primes, et Chris Mannix, renégat sudiste qui se revendique shérif. Pris dans la tempête de neige, les 4 premiers salopards trouvent refuge chez Minnie, un refuge de montagne où les diligences ont l’habitude de faire halte. En arrivant sur place, ils sont accueillis par quatre inconnus qui ont eux aussi voulu échapper au blizzard. Tandis que la tempête s’abat sur la petite maison, les huit aventuriers comprennent peu à peu qu’ils ne réussiront sans doute pas à gagner Red Rock… |
Sortie ciné : 6 janvier 2016 Box office France: 1 779 974 entrées cinéma Academy Awards 2016 : Oscar de la Meilleure musique. |
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