Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd Payback):
"Brian Helgeland a concocté un film noir bizarre et imprévisible, hybride et stylisé. Payback est en couleurs, mais on jurerait l'avoir vu en noir et blanc. Cette noirceur ne va pas sans une pointe d'humour méchant. D'une crudité parfois étonnante dans la violence, le film tient en haleine sans jamais se départir d'un réalisme sec."
Telerama
"Entre un Mel Gibson au sommet de sa forme, des seconds rôles mémorables, comme Lucy Liu en bombe sexuelle sado-maso ou le personnage de Val qui donnent envie de lui filer des claques, un graphisme de très bonne qualité et un scénario qui ne baisse pas de rythme sur les 100 minutes du film (assez court donc mais sans temps mort), Payback est un film à voir et à revoir, qui restera dans les classiques du polar des années 90 (...). Quand Mel Gibson joue les méchants on aime ça, et on en redemande ! "
Krinein
"Volontairement très noir, Payback a fait peur à son distributeur et évidemment à la Warner. Il faut dire que c'était, à l'époque, un rôle à contre emploi pour Mel Gibson, même si ce dernier avait déjà commencé à jouer dans des films plus violents. Le scénario de Payback est tiré d'un roman de Richard Stark intitulé The Hunter , qui avait également servi de base au Point de non retour de John Boorman en 1967. Ce petit cocktail donne un véritable film de genre à l'ancienne terriblement jouissif."
Ca depend des jours
"(...) Payback, forcément roublard, se voit avec plus de plaisir que de honte. (...) Dommage que la noirceur et la brutalité du début du film se diluent peu à peu dans la rigolade, la violence et la sexualité parodique, comme si Mel Gibson reprenait ses mauvaises habitudes et la décontraction facile de la tétralogie beauf L'Arme fatale."
Les Inrocks
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Synopsis usuel:
Porter est un homme qui travaille seul, sans rendre de compte à l’organisation. Un jour, poussé par sa femme, il se décide à faire un hold-up en équipe avec Val Resnik, un malfrat incontrôlable qui cherche à doubler l’organisation. Volatilisé avec le magot, il laisse Porter pour mort. Cinq mois plus tard, Porter est de retour et il est très en colère…
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