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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Joy):
"Par son talent pour faire vaciller certaines conventions cinématographiques, par son goût pour la multiplicité des textures dans son récit, David O. Russell livre avec Joy une nouvelle petite merveille et offre à Jennifer Lawrence un de ses plus beaux rôles. L'american dream se voit réinventé, et ce combat pour la reconnaissance, pour la famille, voire pour la vie, s'avère à la fois revigorant et bouleversant." Film o Sphere "David O. Russell reste un cinéaste qui a un certain talent et il arrive très nettement à redresser la barre de son film pour offrir une success story certes attendue mais qui s'extirpe néanmoins admirablement du carcan des biopics académiques. Une certaine radicalité et énergie se dégage de l'oeuvre qui se montre comme son personnage, insoumise, ce qui la rend admirable. Surtout que le tout est servi par des acteurs exceptionnels et de vrais moments de cinéma." Ciné Séries Mag "David O. Russell livre une épatante déclaration d'amour à la création, à l'idée, aux femmes aussi, moins dans un féminisme revendicatif que dans une célébration tendre et attentionnée d'une féminité toute puissante." Avoir Alire "L'histoire est sérieuse, mais ce business cocasse autorise le réalisateur à céder à son péché mignon, la comédie légèrement zinzin. Il entoure son héroïne d'une famille allumée, où brillent un Robert De Niro à bout de nerfs et une Isabella Rossellini farfelue à souhait. L'entrain gagne la mise en scène et porte la première partie du film, mais rend difficile le passage à la seconde, plus dramatique. Car la gravité de l'histoire n'est portée que par la seule Jennifer Lawrence, isolée, privée de toute intrigue amoureuse, et donc de toute émotion. Condamner une star aussi grande soit-elle à jouer toute seule, ça ne marche qu'à moitié." Telerama - Frédéric Strauss "Comme Quentin Tarantino, David Fincher ou encore Paul Thomas Anderson, le célèbre David O Russell fait partie de la nouvelle génération de réalisateurs autodidactes du milieu des années 1990. Contrairement à leurs mentors du nouvel Hollywood, ces jeunes génies se prennent à cultiver le post-modernisme. Leur cinéma n'a qu'un but : rendre perpétuellement hommage au style des réalisateurs des années 1970 sans chercher à recréer un nouvel âge d'or hollywoodien comme aurait pu constituer celui du cinéma classique des années 1930. Comme les autres membres de cette école, O Russell tient le devant de la scène depuis maintenant près de quinze ans. Auteur des célèbres The Fighter, American bluff ou encore Happiness Therapy, le réalisateur de 57 ans fait partie des plus grands chouchous de l'Académie des Oscars et de la critique spécialisée. Dans ce cadre, son nouveau film, Joy, faisait partie des plus grandes attentes de l'année. Force est de constater qu'il s'impose hélas comme une petite déception." Cinécinéphile "Seule la prestation exceptionnelle de Jennifer Lawrence mérite le détour. Le réalisateur David O. Russell arrive mieux que personne à donner des rôles parfaits pour la jeune actrice. Les images sont également très belles avec une bonne reconstitution des années 1970 mais on attendra désespérément qu'il se passe quelque chose d'intéressant pendant deux heures." Xav-B.log "Malgré l'énergie de la mise en scène et l'interprétation de Jennifer Lawrence, Joy peine à nous convertir à cette vision ébahie du rêve américain. Jamais les règles du jeu capitaliste sont remises en question, même si l'épilogue est teintée d'une très légère amertume. Le film pâtit aussi de la comparaison avec un modèle du genre, Le Grand Saut des frères Coen, au sucre beaucoup plus raffiné." Paris Match "Joy est un mélo grimaçant et tape-à-l'oeil (...). (...) ce huitième long métrage de l'enfant chéri d'Hollywood, qui raconte la success-story d'une ménagère des late eighties (Jennifer Lawrence), condense en deux heures asphyxiantes tous les pires travers de sa filmographie. Question de mise en scène, d'abord : toujours aussi obsédé par le cinéma de Martin Scorsese, le copiste O. Russell agite sa caméra dans tous les sens et ne retient du maître italo-américain que ses pires effets de style, son baroquisme clinquant, son montage hypercut et sa direction artistique vintage, tournant ici à l'enluminure poussiéreuse. Question d'écriture, ensuite : même quand il se confronte à la grande fresque mélo (un genre qui exige au moins un peu de croyance, de premier degré), l'auteur ne peut tempérer son petit rire sardonique, cette ironie grimaçante qu'il applique à chaque situation." Les Inrocks "Jennifer Lawrence est une excellente comédienne, lumineuse, énergique possédant un vrai charisme mais à 25 ans seulement elle n'a pas encore le vécu nécessaire pour assumer un rôle d'une telle amplitude. Son metteur en scène la met dans la position d'une joueuse de tennis face à une machine qui lui projette des balles à grandes vitesse, elle en renvoie certaine mais pas toutes. Seul point réussi comme toujours chez O'Russell une bande son rock et soul brillante. Joy malgré quelques moments de grâce et les efforts de sa vedette est une véritable sortie de route pour un David O'Russell en roue libre." Les Chroniques de Cliffhanger & Co |
Synopsis usuel:
Inspiré d’une histoire vraie, Joy décrit le fascinant et émouvant parcours, sur 40 ans, d’une femme farouchement déterminée à réussir, en dépit de son excentrique et dysfonctionnelle famille, et à fonder un empire d’un milliard de dollars. Au-delà de la femme d’exception, Joy incarne le rêve américain dans cette comédie dramatique, mêlant portrait de famille, trahisons, déraison et sentiments. |
Sortie ciné : 30 décembre 2015 Box office France: 510 032 entrées cinéma |
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