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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray La cité des enfants perdus):
"(...) Le seul « -isme » que revendiquent Jeunet et Caro, c'est le gigantisme. Une ville entièrement reconstruite en studio. Des truquages dignes des réussites américaines. Et un brassage de personnages bizarroïdes, fantastiques, échappés d'un conte de fées, revu et corrigé par l'humour noir vraiment très noir d'une BD iconoclaste, et fière de l'être." Telerama - Pierre Murat "La plupart des contes pour enfants possèdent deux caractéristiques qui aident à les définir comme tels : ils présentent un univers relativement limité dans l'espace et dans le temps, mais tout à fait illimité dans ses possibilités. Au-delà de ce trait commun, La Cité des Enfants perdus a su s'émanciper des oeuvres-mères dont il se réclame pour s'aventurer dans des contrées connues de peu d'hommes ou de femmes, et d'encore moins d'enfants. En 1995, le deuxième film du duo Jeunet-Caro, qui avait déjà frappé un grand coup avec Delicatessen quatre ans auparavant, offre au public des singularités tout à fait remarquables. La première, c'est d'exposer toutes les richesses du média cinématographique en donnant une importance particulière aux images. Grâce à un décor immense à échelle réelle (le plus grand jamais fait en France à l'époque), qui leur permettait un contrôle total sur la mise en scène et l'éclairage, les réalisateurs, appuyés par Darius Khondji (Se7en) à la photographie, ont réussi à donner une identité visuelle exceptionnelle à leur film." Clone Web - Arkaron "Après l'OVNI cultisime et fou Delicatessen, Jean-pierre Jeunet nous livre encore une merveille de toute beauté ! Des décors à rendre jaloux un bon nombre de réalisateurs, une histoire complement folle et plein d'imagination (encore une fois). Une galerie de personnages impressionnant, un Ron Perlman qui s'en sort très bien dans son rôle de gentil géant, mais celui qu'on retiendra le plus est Dominique Pinon complement déchainé ! A voir de toute urgence ! " Horreur.net - Goodmad "Les plus grands défenseurs de La Cité des Enfants perdus perdus seront probablement les fans d'un cinéma formaliste, très en vogue dans les années 80. Car la plus belle réussite du film reste les décors, signés Jean Rabasse : le royaume de Krank évoque une sorte de Nautilus démoniaque. Et puis il y a, bien sûr, la cité. Cette ville noire, étouffante, mortifère, avec ses perspectives écrasées, ses ruelles étroites, en pente, suintant l'humidité et la misère. Cette ville peuplée de monstres, où l'humain semble avoir rendu l'âme." Telerama - Pierre Murat "Merveille de perfection technique et d'imagination visuelle mais échec de cinéma, le film porte une conception du 7e art qui, à force d'évacuer l'humain, suinte la mort." Les Inrocks "Si l'on évacue l'aspect techno-décoratif des choses, on remarque à quel point les deux compères sont de mauvais cinéastes, incapables de gérer le rythme et la durée du film (impression d'une suite de scènes individuelles, moments anodins filmés à contresens comme des morceaux de bravoure), de doser les affects des personnages, de diriger les acteurs dès la première scène, on est assommé par un mélange de gesticulations gratuites et de vociférations exaspérantes." Les Inrocks |
Synopsis usuel:
Un étrange personnage vit entouré de clones et d’autres personnages encore plus étranges sur une plate-forme en mer perdue dans le brouillard. Krank, c’est son nom, doit pour ne pas vieillir trop vite voler le rêve des enfants. C’est pour cela qu’il les enlève de la cité portuaire. |
Sortie ciné : 17 mai 1995 Box office France: 1 304 898 entrées cinéma César 1996 : César des Meilleurs décors. |
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