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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie Performance):
"Performance, mis en scène avec un Mick Jagger bien dérangé, est un film provocateur sous toutes ses formes, mélangeant sexe, drogue et tuerie sauvage dans une forme pourtant hors du commun, avec déjà un fort attrait de la part de Roeg pour l'anti-conformisme... (à ce propos, la Warner fut tellement choquée par le film qu'ils décidèrent de retarder la sortie du film de 2 ans)" Psychovision "Quel dommage de ne pouvoir assister à la première projection de Performance qui fut donnée devant les cadres de Warner Bros ! On les imagine bien à l'époque, attendant une comédie musicale enjouée dans l'esprit Beatles avec pour vedettes les voyous charismatiques que forment les Rolling Stones et se retrouvant en fin de compte devant 105 minutes de violence sans compromis, de scènes explicites de sexe à trois, de shoots de drogues incitant à la fête et même devant Mick Jagger vêtu d'une robe. Jugé incohérent et complaisant à sa sortie (le critique du Los Angeles Times Richard Schickel le décrit comme « le film le plus nul que j'aie jamais vu »), Performance a gagné en envergure et en influence, culminant ici en apparaissant dans le top 10 et faisant un bond de quarante-et-une places depuis la liste similaire établie par le BFI en 1999." TimeOut "Roeg affirme dès ce premier passage derrière la caméra un style décalé et personnel qui marquera le cinéma britannique des années 70 et 80. Montage épileptique, construction en puzzle, narration fragmentée... tout est là mais encore à l'état de brouillon." Dvd Classik "Le montage, certes vertigineux, nous laisse aujourd'hui de marbre, et l'agencement interne de certains plans est trop putassier pour être honnête. Malgré tout, cette oeuvre typiquement british demeure un témoignage précieux, ne serait-ce que pour voir évoluer un Mick Jagger au top de sa gloire, plus lippu que jamais, en androgyne à l'énergie reptilienne dévastatrice. Le chanteur des Stones et la fausse ingénue Anita Pallenberg, alors maîtresse de l'alter ego Keith Richards, font des étincelles et éclaboussent le film d'une sensualité vénéneuse caractéristique de ce que le rock'n'roll a pu, et peut encore tant bien que mal, symbolisé. Chant du cygne d'une époque décomplexée, Performance prend le risque d'être redécouvert aujourd'hui. La curiosité et l'indulgence seront les armes nécessaires pour cette nouvelle expérience." Avoir Alire "Alors que tous les autres films de Roeg sauront dynamiter le cinéma classique en y incluant des éléments expérimentaux, ici ce sont ces derniers qui dominent. Performance souffre donc d'une narration parfois en roue libre et d'un rythme souvent laborieux, notamment lorsqu'il donne dans la provocation gratuite. L'intérêt repose donc sur une ambiance unique en son genre et des thèmes qui annoncent en tout point la filmographie à venir de Roeg." Il était une fois le cinéma "S'il est farci de singulières expérimentations esthético-narratives, le film peut décevoir. L'aura accolée au scandale provoqué par le film en 1970 et son cheminement underground l'ont sans doute rendu plus subversif qu'il ne l'est vraiment." Critikat |
Synopsis usuel:
Chas, un gangster sadique en cavale, trouve refuge à Notting Hill chez l'étrange Turner, une rockstar droguée sur le déclin. Entre ces deux individus hors normes, la fascination est mutuelle. |
Sortie ciné : 27 janvier 1971 |
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