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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Pink Flamingos):
"Waters est prêt à toutes les insolences. Son scénario foutraque n'a qu'un seul but : empiler les scènes les plus dégueulasses. Copulations bizarres, bouffage d'excréments et trafic d'enfants sont le lot du spectateur pendant 1h30. Complètement punk dans l'esprit, Pink Flamingos est un film rafraîchissant quand on le découvre pour la première fois." Le comptoir du cinéphage "Pink Flamingos est un sommet du mauvais goût. (...) cette curiosité se révèle être un objet étonnant, se focalisant sur des enjeux absolument inutiles et se lançant dans une enchère de provocations tout à fait scandaleuses, qui parvient à donner dans le jamais vu, et surtout à nous offrir le portrait de Freak le plus sulfureux de l'histoire du cinéma. A genoux devant Divine, pauvres mortels ! " Voracinéphile "John Waters, le pape du cinéma trash, est à son meilleur. Réalisé avec trois bouts de ficelles et une furieuse envie d'en découdre avec les bonnes moeurs, Pink Flamingos fonce tête baissé dans le vulgaire pour l'élever au rang d'art." Le comptoir du cinéphage "John Waters fait partie de ces réalisateurs plus connus que leurs films. Tout le monde a entendu parler de la scène où son égérie Divine déguste en plan-séquence et sans trucages la crotte déféquée en direct par un affreux caniche dans Pink Flamingos (1972). Une scène qui donne parfaitement le ton de la période la plus féconde de la filmo de Waters, la décennie 70, où il se surpasse dans le trash. (...) Ces films étaient tellement subversifs (il faut voir Babs Johnson tailler une pipe plein cadre à son fils, ou le personnage qui chante avec son trou du cul, plein cadre également, dans Pink Flamingos) qu'il restent corrosifs aujourd'hui encore." Les Inrocks "En 1997, John Waters reçoit un prix pour l'ensemble de sa carrière au Festival du Film Américain de Deauville. Une reconnaissance tardive pour un génie du septième art, un fils de Russ Meyer et de Federico Fellini. Il a inventé le film nauséabond en odorat, Polyester, a fait manger de la merde à une poupée Barbie poilue dans Pink Flamingos, a filmé la première mère de famille américaine psychotique dans Serial Mother. Bref, il a mis à feu et à sang la morale de l'establishment hollywoodien par des farces potaches dans lesquelles l'amour ne triomphe pas toujours, des petites fables trash sur des marginaux jusqu'alors absents des écrans de ciné." Film de Culte |
Synopsis usuel:
Baps Johnson vit dans une roulotte avec sa mère, un amie et son propre fils. Elle a acquis une réputation qu’elle défend par tous les moyens, celle de l’être le plus répugnant des Etats-Unis ! Aussi lorsque les gens veulent lui disputer cette « palme », se rebiffe-t-elle et ce sera à qui fera le pire pour justifier cette place… |
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