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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd et blu-ray Planète terreur):
"Planète Terreur (...) se révèle être le film le plus fun et jouissif vu au cinéma depuis belle lurette ! (...) Place au fun, au gore, à l'action, au délire tout simplement ! " Horreur.com "Que le diptyque Grindhouse, dans sa forme, soit une originalité, est une évidence : pellicule raturée, son déglingué et montage merdique (...) Dans le style horreur, limite gore, deux orientations : faire peur... ou faire rire. Rodriguez aura choisi la seconde voie. (...) Une histoire loufoque, simple et débile, destins croisés dégénérés comme seuls les films de série B savent les décliner." Cinemovie "Un film de zombie bien gore saupoudré d'un zeste d'érotisme et de fétichisme en tout genre (escarpins, jambes féminines, bagnoles,...)." Horreur.net |
Synopsis usuel:
Dans une petite ville, William et Dakota Block, un couple de médecins, constatent que leurs patients sont soudain frappés par la gangrène et affectés par un regard vide et inquiétant... De son côté, Cherry, go-go danseuse, s'est fait arracher la jambe lors d'une attaque. Wray, son ex-petit copain, veille sur elle. Mais Cherry a beau être au plus mal, elle n'a pas dit son dernier mot. Tandis que les malades se multiplient et deviennent des agresseurs enragés, Cherry et Wray prennent la tête d'une armée destinée à empêcher l'épidémie de se propager. Si des millions d'individus sont contaminés et beaucoup succombent, une poignée d'entre eux se battront jusqu'au bout pour se réfugier dans un lieu sûr... |
Sortie ciné : 14 aout 2007 Box office France: 134 427 entrées cinéma - - - - - Le projet initial était de créer un double programme : Grindhouse était composé de deux films de genre, Boulevard de la mort et Planète terreur, avec l'ambition de réaliser un programme "à l'ancienne". Les films ont une image traitée pour donner l'illusion qu'il s'agit de vieux films, et lors de la projection en salle, de fausses bandes-annonces précédaient le programme, le tout ramenant le spectateur à des séances comme dans les cinémas de quartier autrefois aux Etats-Unis. Le but de Tarentino et Rodiguez était donc de faire revivre cette tradition, où le spectateur pouvait voir des films de genre, aux moyens techniques limités, mais qui compensaient ce manque par une inventivité débridée, fort appréciable face au conformisme politiquement correct des grandes majors. La formule du double programme n'a pas était retenue pour la commercialisation en France. Les deux films ont été projetés séparément. |
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