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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Steve Jobs):
"Les joutes verbales qui composent le film ne perdent jamais en intensité. Le dialogue est ciselé, précis, presque frénétique. Dans ce flot de paroles ininterrompu entre Steve et Johanna Hoffman (son assistante), Wozniak (cofondateur génial de la société) ou Sculley (ancien patron d'Apple), le spectateur est parfois heurté par un détail, une anecdote qu'il connait sur les produits de la firme. C'est à travers ces dernières, comme un sous-entendu, que se dévoile la personnalité étriquée du créateur. Tatillon, paranoïaque, génial, Fassbender est une forteresse, fermée de toute part et inapte à la critique, qui tente sans relâche d'imposer sa vision inspirée de la simplicité et du beau." Journal du Geek "Librement inspiré d'une biographie du journaliste-limier Walter Isaacson, le scénario déjoue tous les pièges du biopic mainstream (...), et aborde le cas Steve Jobs avec une ambition folle : raconter le destin d'une icône médiatique depuis l'intérieur de son cerveau, dresser le portrait mental d'un homme qui aura jusqu'au bout entretenu le mystère sur sa vie, contrôlant chaque élément de sa communication. En langage informatique : cracker son mot de passe. Pour y parvenir, le film isole trois grandes étapes de la bio de l'entrepreneur, qui toutes correspondent aux cérémonies de lancement des nouvelles machines qui firent son succès (Macintosh, Next, iMac). Ainsi séquencé en trois actes, et intégralement situé dans les décors intérieurs de salles de spectacle, le film épouse une forme de théâtralité assumée et fait de Steve Jobs un pur personnage shakespearien." Les Inrocks "On dirait presque une pièce en trois actes. Mais du théâtre jamais théâtral. Tout bouge tout le temps : de la scène où Steve Jobs, épouvantable pinailleur, enquiquine tous ses collaborateurs, on file vers les coulisses où, protégé par une assistante fidèle, excédée et indestructible (Kate Winslet, magnifique), il affronte - ou plutôt il efface - tous les êtres qui pourraient lui inspirer un quelconque sentiment, une impardonnable faiblesse à ses yeux." Telerama "Nous offrant une plongée vertigineuse dans les arcanes de l'innovation, la caméra virevoltante refuse le plan séquence pour mieux coller aux corps des protagonistes, en particulier celui de Steve Jobs qu'elle ne quitte jamais. « Rien ne s'est déroulé comme dans le film, mais tout est vrai » aime rappeler Danny Boyle. Car chaque invitation dans les loges est une occasion nouvelle de multiplier les enjeux dramatiques d'un film qui trouve un incroyable équilibre dans cette valse incessante de faux-semblants et de conflits. Sur un rythme appuyé, les répliques aiguisées fusent avec une fluidité impressionnante, permettant aux initiés comme aux aficionados de saisir tout ce qui se jouait à ce moment-là, qu'il s'agisse de l'intime d'un être détesté de son entourage ou de l'avenir d'une marque à laquelle personne ne croyait vraiment." Abus de Ciné "Objet étrange, Steve Jobs l'est également formellement, parsemé par quelques touches héritées du cinéma de Boyle, soit un montage « clippesque » heureusement justifié par la narration à de rares occasions, fonctionnant comme des images mentales attaquant Steve Jobs. (...) Au final, on a envie de dire que nous sommes déçus d'être passé à côté du grand film sombre et ample promis non seulement par le casting mais aussi entraperçu dans les diverses bandes-annonces." Le Blog du Cinéma "Boyle filme de longs dialogues qui sont là pour satisfaire les fans de l'homme qui ont, de toute façon, déjà lu la biographie dont est tiré le scénario. Ces discussions autour de système d'exploitation, ou autour de la vision de l'informatique fermée (sectaire ? ) qu'entretenait Jobs ne permettent en rien de donner de la consistance narrative à cette approche geek quelque peu communautaire." Avoir Alire "(...) pourquoi les cinéphiles américains boudent-ils Steve Jobs ? (...) le long métrage de Danny Boyle serait « trop cérébral, trop froid et trop cher pour en faire un succès », écrit Variety, qui analyse la situation après ce premier week-end d'exploitation." Lefigaro |
Synopsis usuel:
1984. A quelques minutes du dévoilement du premier ordinateur Macintosh, Steve Jobs, cofondateur de la compagnie Apple, fulmine. L'appareil, présenté devant près de 3000 personnes, refuse de dire "Bonjour" à l'allumage, comme le veut son fabricant. Jobs met la pression sur son ingénieur afin qu'il règle le problème. Pendant ce temps, sa directrice du marketing Joanna Hoffman gère l'horaire de Jobs et le trafic dans sa loge, où elle tente sans succès d'intervenir pour résoudre le contentieux qui l'oppose à son ex-maîtresse Chrisann Brennan, mère d'une petite fille, Lisa, que l'entrepreneur refuse de reconnaître. 1990. Ayant quitté Apple à la suite de l'échec commercial du Macintosh, Jobs s'apprête à lancer le NeXTcube, un ordinateur doté d'un système d'exploitation révolutionnaire. Avec trente minutes à tuer avant la présentation, il reçoit la visite de Steve Wozniak, cofondateur de Apple avec qui il s'est brouillé, et règle des comptes avec son ex-patron John Sculley. Ces mêmes individus, ainsi que Lisa, feront à nouveau surface six ans plus tard alors que, revenu à la tête de Apple, Jobs dévoilera le tout premier iMac. |
Sortie ciné : 3 février 2016 Box office France: 167 868 entrées cinéma |
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