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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd L'Etrange Vice de Mme Wardh):
"Premier giallo de Sergio Martino, ce long-métrage ambitieux se place dans la lignée du Venin de la Peur de Fulci en proposant un savant mélange d'érotisme et de violence dans une atmosphère fantasmatique du plus bel effet. Un incontournable pour les amoureux de ce sous-genre." Avoir Alire "Sous genre très populaire en Italie au cours du début des années 1960 et jusqu'au milieu des années 1970, le giallo est une variante du thriller à suspense mâtiné d'une bonne dose d'érotisme et d'épouvante." Sueurs Froides "L'Etrange Vice de Mme Wardh arrive dans la déferlante de Giallos s'abattant sur les écrans italiens en 1970 et 1971, juste après l'énorme succès de L'oiseau au Plumage de Cristal de Dario Argento, (...) lequel mettait aussi en scène un criminel sadique très perturbé, s'en prenant exclusivement aux jeunes femmes. Mais là où Argento prend bien soin de définir un contexte social urbain crédible, Martino reste dans la tradition des Giallos de la fin des années soixante, avec ses riches oisifs sortis tout droit d'un film d'Antonioni, louvoyant entre fêtes décadentes et voitures décapotables, entre magasins de luxe et appartements de décorateurs. L'occupation professionnelle des protagonistes, quand ils en ont une, reste soigneusement dans le vague et jamais nous ne les verrons se livrer à une occupation aussi peu glamour que le travail ! Dans cet univers de roman-photo, Sergio Martino décrit non seulement les troubles de Madame Wardh sur fond de crimes en série, mais il multiplie aussi les nudités féminines dès que faire se peut, employant des prétextes futiles pour dévêtir aussi régulièrement que possible ses comédiennes rondement tournées. Il y a certainement une complaisance purement mercantile dans cette pratique, L'Etrange Vice de Mme Wardh n'oubliant pas d'offrir au spectateur ce qu'il est supposé être venu chercher : à savoir du sexe et de la violence." Devil Dead "Empruntant ses trames narratives au versant le plus traditionnel de la fiction criminelle, le giallo entreprend cependant une relecture résolument moderne de celles-ci par le traitement visuel qu'il leur applique. Celui-ci consiste en effet à montrer de manière explicite ce qui n'était que sous-entendu dans l'univers feutré du whodunit : la violence et le sexe. C'est en usant d'une imagerie au moins sanglante, voire franchement gore, que la plupart de ces gialli donnent à voir l'acte homicide. L'arme blanche y constitue l'outil de mise à mort le plus fréquent, tels le poignard dans Mais qu'avez-vous fait à Solange ? et le rasoir dans L'Etrange Vice de Mme Wardh. Pareil choix permet aux gialli de multiplier les plans de corps entaillés et percés, de visages balafrés et de gorges tranchées." Dvd Classik "Dommage que ce soit aussi inégal, car on aura eu droit (...) à une poursuite diurne en pleine rue, très bien filmée du reste, où Julia court sans s'arrêter, mais durant laquelle tous les passants lorgnent avidement la caméra, ce qui en soit ne serait pas très grave puisqu'on le voit dans de nombreux films, mais qui tue la scène ici, puisque sensée être effrayante. Dommage pour ce genre d'approximation qui parsème ce pourtant bon giallo." Psychovision |
Synopsis usuel:
Julie Wardh cache un secret derrière sa vie bourgeoise et son extraordinaire beauté. Pendant un séjour à Vienne avec son mari, elle doit faire face à un vice qu’elle croyait définitivement enterré dans son passé. C’est alors qu’un mystérieux tueur au rasoir cherche à la tuer, semant la terreur dans toute la ville. |
Sortie ciné : 14 juin 1972 |
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