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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie vod, dvd et blu-ray Sweet Home):
"Cette petite série B horrifique typiquement calibrée pour le marché du DTV (...) est un survival en huis clos (...) proprement exécuté. Il se regarde d'un bon oeil distrait, pouvant compter sur son histoire classique mais efficace, sur son rythme bien minuté et surtout, sur sa facture visuelle cinégénique et jamais trop cheap." Mondociné "Sweet Home est le premier long-métrage du méconnu Rafa Martinez, un ancien directeur artistique de campagne publicitaire qui en avait marre de rester dans l'ombre du marketing cinéma et qui s'est mis à éprouver des envies de cesser de vendre les films des autres pour tenter de vendre le sien." Mondociné "Sweet Home présente les mêmes points négatifs que l'ensemble des premiers longs métrages réalisés par des passionnés frustrés de ne pouvoir exprimer leur art jusque là. Trop généreux, rempli d'un trop-plein de références, il peut parfois perdre en route certains spectateurs. Dans le making of, le réalisateur cite Mimic et Massacre à la Tronçonneuse 2 et ajoute : « Sweet Home est un collage de ce qui nous plaît ». Il s'agit surtout d'un grand cri d'amour au genre cinématographique de l'horreur et de l'épouvante. Rafa Martinez fait preuve d'une grande maîtrise de la caméra et il sera intéressant de suivre ses futurs projets." Strange Movies - Marc d'Oc "La première partie est totalement ratée (...). Heureusement, un basculement brusque s'opère dans la deuxième partie. Dés l'entrée en scène du nettoyeur, le ton change (...). La caméra devient plus nerveuse (...) pour nous plonger dans une action non-stop des plus jouissives. La tension est maintenue à son comble jusqu'à la fin du métrage et il faut avouer que le résultat est à la hauteur des espérances. Tout à coup, des éléments gores s'invitent dans Sweet Home, nous rappelant par moment la trilogie Hostel d'Eli Roth. Le seul - léger - problème vient d'un contraste mal maîtrisé. Lorsqu'une mort violente survient brusquement dans une gigantesque gerbe de sang assez peu réaliste, le spectateur se marre devant cet effet brutal et gore. Car telle est la vocation du gore in fine. Mais lorsqu'elle est suivie d'un élément dramatique, d'une détresse immense, le spectateur n'est alors pas touché et ne compatit en rien au chagrin des personnages. À trop vouloir en faire, le réalisateur oppose des genres au lieu de les lier entre eux, ce qui perturbe la lecture de son métrage et de son propos." Strange Movies - Marc d'Oc "Le jeune réalisateur Rafa Martinez se prend les pieds dans le tapis en changeant son fusil d'épaule à mi-parcours : le film gomme toutes touches d'horreur sociale pour basculer vers un simple slasher (...) bien inoffensif et vite oubliable. Dommage lorsque l'on compare le résultat avec ce que sont capable de livrer les asiatiques sur des sujets identiques, on pense notamment au formidable Dream Home avec la frappadingue Josie Ho." Film de Culte |
Synopsis usuel:
Alicia, une jeune courtière en immobilier, organise un rendez-vous romantique avec son petit ami, Simon, dans un vieil immeuble quasi abandonné. Mais ils ne savent pas que le bailleur de cet immeuble a envoyé un groupe de tueurs afin de se débarrasser de ses derniers locataires. Quand Alicia et Simon les surprennent, les deux amants doivent courir, se cacher et se battre pour réussir à échapper au massacre… |
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