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Aperçu des critiques de la presse Internet (sortie dvd Black Christmas):
"Le slasher fondateur. Sobre, carré, efficace. Forcément une référence." Avoir Alire "Bob Clark signe une réalisation hors pair. Le cinéaste a le soucis de la répartie et bâtit ses plans en fonction d'une montée graduelle de la tension. L'atmosphère oppressante aide énormément à bâtir un suspense psychologique rarement égalé dans un slasher." Horreur-web.com "Le final reste toujours aussi génialement dérangeant." Film de Culte - Nicolas Bardot "Les racines du Slasher restent difficilement discernables. Pour certains, Halloween - La Nuit des Masques de John Carpenter a imposé les règles du genre. Pour d'autres, il faut remonter quelques années en arrière et s'intéresser à Black Christmas. Mais, en réalité, le genre prend déjà ses racines autant dans le « Whodunit » que le « Psycho-killer ». Ainsi, on peut remonter à des oeuvres telle que La Baie Sanglante de Mario Bava (...) pour y trouver les véritables prémices d'un genre qui allait exploser à l'aube des années 80. Toutefois, Black Christmas va moderniser son sujet en l'orientant vers les jeunes adultes et un cadre quotidien. Les victimes potentielles du tueur de Black Christmas sont des étudiantes confrontées à leurs problèmes existentiels : petits copains, chamailleries, alcool et rébellion contre des parents symboles d'une société coincée. La recette sera poussée à l'extrême avec les Vendredi 13 peuplés d'ados insouciants." Devil Dead "La critique spécialisée aime à voir dans ce macabre conte de Noël la double matrice du virtuose La Nuit des Masques et du moins célèbre Terreur sur la Ligne." Citizen Poulpe "A la genèse d'un genre, cette perle oubliée rappelle incontestablement qu'en l'espace de quelques films, Bob Clark révolutionnait le monde du cinéma en explosant le cadre conventionnel du genre pour y imposer ses propres lois. Black Christmas est une oeuvre simple mais fouillée, aux mille et une idées jubilatoires traitées avec un sérieux sans faille." Cinéma Fantastique "Black Christmas est avant tout un film d'ambiance. Bob Clark prend particulièrement soin d'installer un climat générant volontiers la peur. (...) L'ambiguité et le doute sont au coeur du film, et Clark entretiendra le malaise de ces personnages en faisant prendre de grosses proportions à la querelle entre Jess et son copain, en faisant du personnage de Margot Kidder une alcoolique et en amenant dans l'histoire le père d'une des disparues... Tout ceci donne au film une touche réaliste et crédible que l'on ne retrouve pas dans les slashers post-Halloween, généralement plus portés sur l'action. Car ici, c'est davantage l'attente et les coups de fils qui font leur effet, bien plus que les meurtres, d'ailleurs très peu nombreux." Psychovision "Black Christmas fut le tremplin entre le giallo italien et ce qu'allait devenir le slasher américain. (...) Il est bien plus que le « grand oncle » du slasher. C'est un exercice de suspense extrêmement bien construit et un film d'horreur exceptionnel ! Il est d'ailleurs dommage que les slashers subséquents n'aient qu'emprunté les conventions du genre et non la subtilité de la réalisation de Clark ! ! " Horreur-web.com "Black Christmas est un film novateur qui offre une ambiance inquiétante et particulière avec une certaine intelligence, offre aussi son lot de plans remarquables; dès le départ un cours de cinoche commence." Avenue de l'Horreur "Le film est un triomphe, mais échoue aux Etats-Unis, où il est re-titré Silent Night, Evil Night car on craint alors que Black Christmas ne soit associé aux films de la... Blaxploitation." Film de Culte - Nicolas Bardot |
Synopsis usuel:
Noël, un campus universitaire du Canada. Dans la résidence des filles, Jessica, Barbie, Phyllis et Clare sont réunies pour passer les fêtes ensemble loin de leur famille. D’étranges appels téléphoniques troublent bientôt la quiétude de leur soirée, jusqu’à la brusque disparition de Clare. Bientôt, les disparitions se multiplient et les filles font appel à la police, sans se douter que la menace provient de l’intérieur-même de la maison, où le tueur a pris ses quartiers… |
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